Cette théorie fait couler beaucoup d’encre.
Il s’agit d’une théorie initiée dans les années 70 par les féministes et qui nie les différences sexuelles de nature anatomique, biologique ou physiologique et prétend que le sexe n’est que social.
Cette théorie est en vogue dans les milieux gauchistes intellectuels et va jusqu’à mettre en place des expériences absolument démentielles.
Par exemple, citons le cas d’une journaliste-éditorialiste qui a décidé de s’injecter des hormones mâle (testostérone) pour prouver que l’on pouvait être femme tout en étant homme.
Il s’agit d’une philosophie absurde.
Bien sûr, ce n’est pas tout à fait cette philosophie qui est enseignée à l’école, mais c’est tout aussi pervers.
Il s’agit d’initiatives pédagogiques qui visent à faire baisser les stéréotypes sexués.
Autrement dit, il ne faut pas que le petit garçon joue à des jeux dits de petits garçons et que la petite fille joue à des jeux dits de petites filles.
Cet égalitarisme sexuel au nom de l’égalité entre les sexes est d’une perversion absolue.
Il est au contraire nécessaire que l’on se sente bien comme garçon ou comme fille, que l’on permette une égalité dans la rémunération et dans le travail, que l’on permette l’accès de tous à tous les métiers.
Mais que l’on interdise à un homme d’être un homme et à une femme d’être une femme est une monstruosité philosophique.
Cette théorie fait pourtant son chemin dans l’idéologie de la Gauche.
La France n’avancera pas avec ce genre de réformes.
Rapprochez cette théorie du genre de la proposition de retirer le plus tôt possible les enfants à leurs parents pour les mettre à l’école, afin qu’ils puissent s’imprégner des théories de gauche et évitent les influences néfastes ou bourgeoises.
Cet égalitarisme me fait penser aux théories de Mao ou des communistes en général qui voulaient que les enfants soient élevés par l’Etat pour briser toute résistance.
C’est bien ce que veut Monsieur Peillon et ce qu’il a d’ailleurs écrit.
Madame Bertinotti ou ses amis utilisent l’argument de l’anti-républicanisme comme s’il n’était pas républicain de ne pas être socialiste.
Nous sommes sur une pente dangereuse et il faut sereinement que l’on puisse y réfléchir.
source : www.bernarddebre.fr
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