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vendredi 6 décembre 2013

Papi Bedos fait de la résistance.

dechetterie

 Le 6 décembre 2013
 


Le 6 décembre 2013 Nous lançons un appel aux lecteurs de Boulevard Voltaire afin qu’ils envoient des vivres aux valeureux résistants.

C’est le visage marqué par la souffrance, à deux doigts de la rupture d’anévrisme, que Guy Bedos s’est fendu d’une déclaration à faire frémir la moindre chaisière de passage dans les couloirs du théâtre du Rond-Point.
 Sur fond de piano d’ambiance — alors que chacun s’imagine qu’il va chanter —, Guy Bedos ânonne sur un ton de mort-vivant : « Marine le Pen fait la campagne d’Hitler. » Brrrrrr…
 Une ouvreuse tombe dans les pommes. On la ranime… Le SAMU la rassure. Hitler est mort.

 
D’autres personnes moins au fait de l’actualité s’interrogent : « Si Hitler est élu en 2017, autorisera-t-il des galas contre le racisme ? » demandent-ils entre deux coupes de champagne. Heu… Pas sûr.
« En revanche, des galas en faveur du racisme pourront avoir lieu ici et là », rassure un membre du PS complètement pompette.
 Les people habitués des soirées parisiennes applaudissent à tout rompre. Pourvu qu’il y ait gala, petits fours et discours d’indignation…
 Contre ou en faveur… On ne va pas chipoter.
Face au succès remporté, Guy Bedos continue sa tirade shakespearienne : « Nous sommes dans la même crise que dans les années hitlériennes. Marine le Pen a simplement remplacé les juifs par les arabes et les nègres. »
 Le sang de la caissière ne fait qu’un tour, elle bloque toutes les issues.

Jean-Michel Ribes arrive en renfort et empile des sacs de sable devant les portes vitrées pour le cas où des soldats de la Wehrmacht viendraient mettre le théâtre à feu et à sang.
Continuant son imprécation, l’humoriste des années 70 enfonce le clou : « Pour Marine le Pen, si on fout les arabes et les noirs à la mer, les Français auront du travail. » Josiane Balasko tente de capter Radio Londres sur un vieux poste à galène, l’état de siège est déclaré.
 
À l’heure où nous publions ces lignes, l’équipe du gala contre le racisme est toujours retranchée dans le théâtre du Rond-Point.
 Stock de petits fours épuisé, plus une goutte de champagne… l’heure est grave.
Nous lançons donc un appel aux lecteurs de Boulevard Voltaire afin qu’ils envoient des vivres aux valeureux résistants.

 De la nourriture sous la forme de topinambours, rutabagas, saccharine, chicorée, etc. Surtout pas de bananes !

Denrée qui susciterait un second gala contre le racisme dans un autre théâtre avec les effets secondaires que l’on connaît : delirium tremens, hallucinations, sénilité précoce, etc.
 
Merci à tous.
 


 

1 commentaire:

  1. qu ils crèvent tous dans ce théâtre entre pd/gauchos/bobo/juif ils veaux mieux qu ils ne se reproduise pas et si ’Hitler était vivant ils vous refermerai dans un hôpital spycatrique entre vous comme sa vous pourrais vous baisser ensemble povre débile

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