Dans le troisième volet du passionnant documentaire intitulé « Triades – la Mafia chinoise à la conquête du monde », diffusé sur Arte, on découvrait que Vancouver est la tête de pont des activités mafieuses en Occident.
Solidement implantées – Toronto est sans doute la ville où l’on croise le plus de Tesla, Ferrari, Porsche, etc. –, les mafias chinoises ont la mainmise sur l’économie locale canadienne comme dans les institutions. Un rapport des services secrets canadiens, enterré il y a vingt ans, pointait déjà les risques politiques d’une telle situation.
Aujourd’hui, preuve est faite que des « lobbyistes » chinois règnent sur l’État canadien, alimentant même de leurs dons la fondation familiale du Premier ministre Justin Trudeau. « On peut relier tous ceux qui bossent avec lui soit au Front uni, soit à l’enquête sur les casinos et le crime organisé », dit Sam Cooper, le journaliste qui a mené l’enquête de fond sur le sujet.
Toutefois, si le Canada est profondément gangrené par les mafias chinoises, ce n’est pas le seul danger qui le mine : il est aussi en passe de devenir le prochain centre de la finance islamique.
Toujours au nom de la défense des minorités
Des Français vivant à Montréal le déplorent : « Ici, l’enfer est pavé de bonnes intentions… particulières. » Ces fameuses bonnes intentions qui font de Justin Trudeau le champion du wokisme, grand militant de la cause trans. On rappellera qu’il s’en est pris, récemment, à Danielle Smith, Premier ministre de l’Alberta, qui a décidé de réglementer les transitions de genre chez les enfants, notamment en interdisant les bloqueurs de puberté chez ceux de moins de 15 ans et en requérant l’autorisation des parents pour toute intervention… Un scandale, dit Trudeau !
Aujourd’hui, c’est encore au nom de la défense des minorités qu’il ouvre les vannes au « financement halal ». « L’économie stable, la communauté musulmane de plus en plus importante et les perspectives internationales du Canada pourraient faire de ce pays le prochain centre de la finance islamique en Amérique du Nord », lisait-on déjà sur middleeasteye.net, en 2016.
C’est un secteur en pleine expansion que le gouvernement fédéral entendait développer, car il ne présente à ses yeux que des avantages : c’est « un système financier socialement responsable […] qui utilise la loi islamique (charia) pour réglementer divers secteurs, notamment les services bancaires, les investissements et l’assurance ».La Toronto Financial Services Alliance (TFSA) avait fait les comptes en amont : « Le Canada pourrait accueillir près de 18 milliards de dollars d’hypothèques conformes à la charia, tandis que les obligations islamiques (sukuk) internationales pourraient générer 130 milliards de dollars en investissements infrastructurels nationaux. » Bref, « une population musulmane de plus en plus importante et une ouverture sur le monde, en font [du Canada] un endroit idéal pour développer des opportunités financières islamiques ».
Après les prêts hypothécaires « charia-compatibles », quoi d’autre ?
C’est donc chose faite et Justin Trudeau, tout sourire, vient d’annoncer la mise en place des « halal mortgages », les prêts hypothécaires halal, pour permettre aux citoyens musulmans d’accéder à la propriété de manière « charia-compatible ».
Quelle est l’étape suivante ? Parce qu’il y en aura une, forcément, puisque c’est dans l’ADN de Justin Trudeau. Celui qui défile chaque année à la Gay Pride, qui s’est officiellement repenti d’avoir participé à des soirées lycéennes « grimé en noir », qui a légalisé le cannabis et l’euthanasie, celui qui s’est agenouillé (pendant plus de 8 minutes !) lors d’une manifestation Black Lives Matter ne s’arrêtera pas là.
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