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vendredi 5 août 2022

Viktor Orbán rencontre Donald Trump aux États-Unis


  par 5 août 2022

« Nous sommes tous deux attachés à la paix », a déclaré le Premier ministre hongrois à propos de ses entretiens avec l’ancien président américain.

Orbán a critiqué l’administration Biden pour avoir mis la Hongrie et l’Europe sous pression idéologique. 

ll a qualifié de « bizarre » le fait que l’administration Obama voulait forcer la Hongrie à modifier sa propre loi fondamentale et à en retirer les valeurs chrétiennes.

« Les démocrates me détestent, ils me calomnient, moi et mon pays, tout comme ils vous détestent, et ils calomnient l’Amérique que vous représentez », a-t-il déclaré.

Le Premier ministre hongrois a reçu une ovation debout à plusieurs reprises lors de son discours au Texas, par exemple lorsqu’il a déclaré :

« Les mondialistes peuvent tous aller en enfer, je suis avec vous au Texas. »

Selon Orbán, le Texas – appelé Lone Star State – représente l’indépendance, la liberté et la souveraineté. « Mon pays, la Hongrie, est le seul État libre d’Europe », a déclaré le Premier ministre, soulignant que les Hongrois se battaient pour ces valeurs depuis 500 ans.

« En Hongrie, nous avons non seulement construit un mur physique à nos frontières et un mur financier autour de nos familles, mais nous avons également construit un mur juridique pour protéger nos enfants de l’idéologie de genre qui les cible », a souligné Viktor Orbán. « Les liens familiaux doivent être fondés sur le mariage ou sur les relations entre parents et enfants. Pour résumer : la mère est une femme, le père est un homme, et laissons nos enfants tranquilles. Arrêt complet. Fin de la discussion », a expliqué Orbán. « Moins de drag queens, plus de Chuck Norris », a-t-il plaisanté.

Concernant la guerre, le Premier ministre a déclaré que sans pourparlers américano-russes, il n’y aura jamais de paix en Ukraine. Selon Orbán, la stratégie des dirigeants mondialistes intensifie et prolonge la guerre et diminue les chances de paix. « Seuls des dirigeants forts sont capables de faire la paix », a-t-il ajouté.

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