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lundi 8 août 2022

La censure à la rescousse des vaccins


 
 

Pour avoir suggéré que l’épidémie de variole du singe était liée aux vaccins à ARNm le professeur Shmuel Shapira, ex-directeur de l’Institut israélien de recherche biologique entre 2013 et 2021, est censuré par Twitter.

Les médias sociaux sont devenus des machines de guerre au service de Big Pharma. Pas question, pour eux, de laisser s’exprimer librement les internautes qui dénigrent les vaccins. Même les plus grands médecins, même les meilleurs scientifiques de la planète n’ont pas le droit de remettre en cause l’efficacité vaccinale. Ils sont tout simplement censurés, bannis, excommuniés, comme au bon vieux temps de l’inquisition. Dernier exemple en date, celui du Pr Shmuel Shapira MD MPH (Colonel), qui a été directeur de l’Institut israélien de recherche biologique entre 2013 et 2021.

La variole du singe et les vaccins Covid

La revue Kanekoa reprise par Les DeQodeurs, rapporte que le célèbre professeur, auteur de plus d’une centaine d’articles scientifiques, s’est vu retirer l’un de ses posts sur Twitter pour avoir affirmé : « Les cas de variole du singe ont été rares pendant des années. Ces dernières années, un seul cas a été documenté en Israël. Il est bien établi que les vaccins à ARNm affectent le système immunitaire naturel. Une épidémie de variole du singe après une vaccination massive de covidés : n’est pas une coïncidence. »

Le professeur Shapira, a dénoncé à plusieurs reprises les effets néfastes des vaccins.

Quelques jours après avoir ouvert un compte Twitter, en janvier 2022, il conteste la remise du prix Genesis au PDG de Pfizer, Albert Bourla.
En février, il s’interroge : « Quelle note donneriez-vous à un vaccin avec lequel les gens sont vaccinés trois fois et tombent malades deux fois (à ce jour) ? Sans parler des effets secondaires importants […] »
En avril, il s’insurge : « Le PDG de la société, dont des millions de vaccins ont été utilisés en Israël pour la vaccination, a déclaré dans une interview avec NBC qu’Israël sert de laboratoire mondial. À ma connaissance, c’est le premier cas dans l’histoire où des cobayes expérimentaux ont payé un tarif exorbitant pour leur participation. »
En mai : « J’ai reçu 3 vaccins, j’ai été ‘’blessé physiquement’’ de manière très significative comme beaucoup d’autres personnes ont été blessées […] Et en outre, ma confiance dans la nature des décisions et dans les processus de prise de décision a été gravement érodée. Personne n’a demandé et vérifié. Je me battrai de toutes mes forces pour que des réponses véridiques concernant toutes les décisions, et pas seulement le vaccin, soient données […] »
En juin : « Je vais continuer et demander pourquoi donner un cinquième vaccin périmé qui ne prévient pas la maladie et qui apparemment provoque de nombreux effets secondaires communs importants. »
En juillet : « Selon les données officielles de l’Australie, plus on vous injecte de doses, plus vous risquez d’être malade, la quatrième injection faisant bondir le risque de façon spectaculaire. D’après cette étude, il s’agit soi-disant d’un antivaccin, du moins d’après ce qu’on m’a enseigné. » Il ajoute, quelques jours plus tard : « Je ne suis pas antivaccins, je suis anti-stupidité, anti-fausse science et anti-management incompétent ».

Tout cet argumentaire, toutes ces constatations sur les effets secondaires des vaccins, Jean-Marc Sabatier les a exposés ici depuis deux ans ! Lui aussi et infodujour sont régulièrement censurés par les inquisiteurs des temps modernes et les Torquemada à la petite semaine.

infodujour 

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