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lundi 5 octobre 2020

Discours d’extrême gauche sur les migrants : Le Pape François cite désormais le grand imam du Caire


Notez les attaques contre la propriété privée, l'économie et les frontières de l'Occident : nous nous trouvons face à la rhétorique d'un communiste qui tente de se faire passer pour un Pape tout en prenant les chrétiens pour des imbéciles depuis de nombreuses années.

L'unique but de ce "Pape" (et cela après l'attentat d'un Pakistanais à Paris et l'attaque d'un Kurde à Morges ; excusez du peu!) est d'imposer une immigration musulmane en Europe qui détruira notre civilisation.

En se référençant à un imam et en militant pour une immigration débridée, il sait parfaitement qu'il trahit les chrétiens et qu'il ébranle le peu de religion qui subsiste en Europe. Ainsi cet individu de gauche aura réussi à retourner une référence identitaire contre les autochtones. C'est une manipulation que la RTS avait déjà utilisée en 2019, en diffusant une série de reportages dégradants sur l'armée suisse, mettant en exergue un musulman (pratiquant) palestinien fraîchement naturalisé dont la chambre était ornée du... drapeau de la Palestine. Le Palestinien Khaled Alhamaideh était présenté comme étant une "recrue très compétente", tout le contraire de la recrue suisse Alessandri.

Depuis son élection en 2013, François, en jésuite latino-américain, mène une guérilla sans merci contre le néolibéralisme, le nationalisme, l’individualisme. 

Il s’est rendu samedi à Assise pour signer sur la tombe de saint François une encyclique qui reprend tous ses combats pour les pauvres, les migrants, les chômeurs, les délaissés, contre toute forme de violence, contre le racisme, dans l’esprit de la «culture de la rencontre» qu’il voudrait voir devenir le standard des relations politiques, nationales et internationales. Il reconnaît à ce titre avoir été inspiré par le grand imam du Caire, Ahmad al-Tayyeb [NDLR : imam de la mosquée al-Azhar], qu’il cite à plusieurs reprises dans le texte, une première dans l’Église catholique.

Cela aboutit à ce titre: Fratelli tutti, Tous frères et à ce sous-titre «Sur la fraternité et l’amitié sociale». Un document de 270 pages aujourd’hui en librairie.

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Une occasion pour remettre «la noblesse» de «la bonne politique» là où l’économie libérale avait pris sa place. Et imposer, au cœur de cette politique, le «migrant» et le «pauvre», symboles du «gêneur» dont personne ne veut mais révélateur des «égoïsmes» que le pape pourfend en attaquant comme jamais le «nationalisme xénophobe», le racisme, «le dogme de foi néolibéral». Il dénonce: «Aussi bien dans les milieux de certains régimes politiques populistes que sur la base d’approches économiques libérales, on soutient que l’arrivée des migrants doit être évitée à tout prix.»

François met d’ailleurs au défi les chrétiens et les catholiques qui seraient tentés de suivre ces «préférences politiques», nationalistes notamment. C’est «inacceptable» pour lui, non seulement parce qu’«aucun État national isolé n’est en mesure d’assurer le bien commun de sa population». Mais aussi parce que «l’humanisme que renferme la foi doit garder un vif sens critique» face aux «diverses formes de nationalismes» et aux «attitudes xénophobes».

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Fustigeant la «paresse sociale et politique», il engage donc le fer contre «la dictature invisible des vrais intérêts cachés» qui laissent penser que «personne ne peut remédier» à la situation. Au contraire, l’objectif est d’atteindre «une amitié sociale inclusive et une fraternité ouverte à tous» par «une mystique de la fraternité».

Les migrants, si on les aide à s’intégrer, sont une bénédiction, une richesse, un don qui invitent une société à grandir

Pape François

Au-delà du renforcement des organisations internationales, une des pièces maîtresses de son dispositif sont «les mouvements populaires rassemblant des chômeurs, des travailleurs précaires» qui doivent être reconnus pour une «économie populaire et de production communautaire». Ils sont des «poètes sociaux» capables d’édifier une «politique sociale» non pas «vers les pauvres» mais «avec les pauvres».

Trois conséquences apparaissent. Le pape les a déjà abordées au fil de son pontificat, mais il les impose désormais comme des incontournables.

La première touche la question sensible des «frontières». Pour François, les «limites et les frontières des États ne peuvent pas s’opposer» à l’arrivée d’un migrant car il n’est pas un «usurpateur». Ainsi «personne ne peut être exclu, peu importe où il soit né» puisque «chaque pays est également celui de l’étranger». Il est donc «important d’appliquer aux migrants arrivés depuis quelque temps et intégrés à la société le concept de citoyenneté» et de «renoncer à l’usage discriminatoire du terme minorités». En effet, «les migrants, si on les aide à s’intégrer, sont une bénédiction, une richesse, un don qui invitent une société à grandir».

Le second concerne la «propriété privée». François rappelle qu’elle n’est pas exclusive mais relative à sa «fonction sociale» d’aide aux plus pauvres. Il y a une «subordination de toute propriété privée à la destination universelle des biens de la terre et par conséquent, le droit de tous à leur utilisation».

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Lefigaro.fr

Nos remerciements à Dany Riviera

1 commentaire:

  1. Donc si j'ai bien compris,moi jeune citoyen français né vivant et désormais travaillant en France pour pouvoir financer mon premier appartement de 20m carré, doit offrir ma propriété que j'ai payé pour pouvoir dormir sous un toit à un inconnue gratuitement car dans le cas contraire, je suis raciste et xénophobe.
    J'ai bien compris ou pas ?

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