Pour le maire de Bordeaux, Emmanuel Macron se présente comme “le chevalier blanc” alors qu’il a cautionné la politique de François Hollande avant de le “poignarder dans le dos”.
Alain Juppé n’est pas tendre avec Emmanuel Macron.
Alors que ce dernier a annoncé sa candidature à la présidentielle de 2017 ce mercredi, le favori de la primaire de la droite, qui a le plus à perdre avec ce ticket du fondateur de l’organisation En Marche! , a qualifié ses idées de “ringardes”.
Il voit également en sa candidature un acte de “trahison” de la part de l’ancien banquier.
“C’est d’abord un problème pour François Hollande et la gauche”, ironise Alain Juppé alors interrogé par la possibilité de perdre des voix au bénéfice de l’ancien ministre de l’Economie.
Avant d’exposer une vision dure sur le nouveau prétendant à l’Elysée.
“Macron, c’est la trahison de François Hollande, qu’il a poignardé dans le dos”, poursuit-il depuis l’Yonne où le maire de Bordeaux effectue un déplacement.
Il l’accuse alors de vouloir “se refaire une virginité”.
Insuffisant pour “lui faire confiance”, martèle le favori de la primaire de la droite.
“Il ne faut pas être naïf. Voilà avec Emmanuel Macron quelqu’un qui a totalement cautionné la politique économique menée depuis 2012, à commencer par la hausse massive des impôts”, avait déjà fait savoir dansLes Echos Alain Juppé pour convaincre des électeurs qui pourrait être tenter par l’aventure Macron.
Le qualifiant de “chevalier blanc”, le maire de Bordeaux appelle à “se méfier des gens qui font le contraire de ce qu’ils disent et disent le contraire de ce qu’ils font”.
Interrogé sur la proposition d’Emmanuel Macron de moduler le temps de travail selon l’âge des salariés, Alain Juppé balaie cette idée.
“Je ne suis pas dirigiste, moi! Je ne vais pas imposer de faire travailler les jeunes plus que les seniors. Ca, c’est ringard”, dénonce le maire de Bordeaux, qui préfère laisser “la liberté de négocier dans les entreprises”.
Alors que ce dernier a annoncé sa candidature à la présidentielle de 2017 ce mercredi, le favori de la primaire de la droite, qui a le plus à perdre avec ce ticket du fondateur de l’organisation En Marche! , a qualifié ses idées de “ringardes”.
Il voit également en sa candidature un acte de “trahison” de la part de l’ancien banquier.
“C’est d’abord un problème pour François Hollande et la gauche”, ironise Alain Juppé alors interrogé par la possibilité de perdre des voix au bénéfice de l’ancien ministre de l’Economie.
Avant d’exposer une vision dure sur le nouveau prétendant à l’Elysée.
“Macron, c’est la trahison de François Hollande, qu’il a poignardé dans le dos”, poursuit-il depuis l’Yonne où le maire de Bordeaux effectue un déplacement.
Il l’accuse alors de vouloir “se refaire une virginité”.
Insuffisant pour “lui faire confiance”, martèle le favori de la primaire de la droite.
“Il ne faut pas être naïf. Voilà avec Emmanuel Macron quelqu’un qui a totalement cautionné la politique économique menée depuis 2012, à commencer par la hausse massive des impôts”, avait déjà fait savoir dansLes Echos Alain Juppé pour convaincre des électeurs qui pourrait être tenter par l’aventure Macron.
Le qualifiant de “chevalier blanc”, le maire de Bordeaux appelle à “se méfier des gens qui font le contraire de ce qu’ils disent et disent le contraire de ce qu’ils font”.
Interrogé sur la proposition d’Emmanuel Macron de moduler le temps de travail selon l’âge des salariés, Alain Juppé balaie cette idée.
“Je ne suis pas dirigiste, moi! Je ne vais pas imposer de faire travailler les jeunes plus que les seniors. Ca, c’est ringard”, dénonce le maire de Bordeaux, qui préfère laisser “la liberté de négocier dans les entreprises”.
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