Source: Reuters
Quatre prisonniers, dont trois mineurs, auraient dû être exécutés le 11 mars en Arabie saoudite, portant à 51 le nombre de victimes de la peine de mort depuis le début de l’année, mais ils attendent toujours l’exécution de leur peine.
Début janvier, 47 personnes avaient été exécutées le même jour, condamnés pour des actes de «terrorisme» dans le royaume.
L’exécution de l’imam chiite saoudien Nimr al-Nimr, dont l'exécution a provoqué une crise diplomatique avec l'Iran, et celle d’un adolescent avaient suscité un importante vague de protestations dans le monde entier.
Condamnation à #mort de l'oncle d'#Ali al-Nimr confirmée : l'#Iran met en garde https://t.co/XCtYWH4Mmm pic.twitter.com/GfcLF9Lrk3— RT France (@RTenfrancais) 25 octobre 2015
Mais les médias gouvernementaux déclarent que d’après sa liste, l’Arabie saoudite doit encore exécuter 51 personnes, ce qui signifie que quatre condamnés doivent subir leur peine.
D’après les informations diffusées par Okaz, tous trois appartiendraient à la minorité chiite qui est discriminée par le gouvernement sunnite.
De plus, Ali al-Nimr est le neveu du cheikh Nimr Baqer al-Nimr, l'imam chiite exécuté en Arabie saoudite début janvier qui a généré la rupture des relations diplomatiques entre Ryad et Téhéran.
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