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jeudi 10 mars 2016

Neuf députés à rouge à lèvres : la dégénérescence du mâle français


Publié le 9 mars 2016 - par Jean Sobieski
 
 
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Le 8 Mars 2016, une bande de dégénérés investis par le peuple français d’un pouvoir qu’ils ont transformé en serpillère, s’est peint les lèvres en rouge afin de rendre hommage à la Femme, dont c’était, parait-il, la journée.
 
On peut sans grand effort imaginer, à cette mascarade, le ricanement d’un monde musulman habitué à ce que ladite Femme, observante des règles essentielles de la communauté, réserve ses signes extérieurs de féminité pour l’intimité de sa relation maritale.
On peut, sans tomber dans l’outrance, imaginer, dans son avion, un Prince saoudien fraîchement décoré de la Légion d’Honneur, caressant au passage deux ou trois croupes aux fragrances Chanel, humer, de Roissy à La Mecque, la sélection de parfums et d’eaux de toilette qu’une Cour hollandienne n’aura pas manqué de joindre au coffret contenant la très précieuse et désormais définitivement sans la moindre valeur, médaille.
On peut, sans sourire de commisération cette fois, imaginer le décapiteur de l’État Islamique montrant la photo des tafioles parlementaires à sa recrue « française », lui demandant si c’est bel et bien comme cela que les choses se passent au pays de Manuel Valls et d’Alain Juppé, et le félicitant d’avoir fait le très coranique pari qu’un jour, cette engeance de couilles molles et de pâté pour chiens serait gommée par ses soins de la surface de la Terre.
On peut imaginer cela, et bien d’autres choses encore : le crachat du cuisinier dans la soupe du client de la brasserie, le calvaire du collégien non-allogène humilié, abaissé, associé à sa famille gallo-franco-romaine de branleurs pathétiques en fin de course, le rictus de l’épicier-du-coin au passage de ce carnaval pour maisons de passe attalienne et, last but not least, l’intense satisfaction d’un Erdogan conforté dans sa décision de combler ce cloaque de lâches, de merkels et de camerons par sa propre population, comme on pose une plaque de marbre sur un caveau de famille.


Nous plongeons dans le gouffre.
Et ce sont des Français qui nous y précipitent.
Il est, dans La Grande Illusion, de Renoir, une scène fameuse, à mon sens l’une des plus fortes que le cinéma ait jamais créée.
Au fin fond de la Prusse Orientale, dans une forteresse-stalag, des prisonniers français et anglais donnent une petite fête.
 On chante et on danse, costumés en femmes, devant un public mêlé d’Allemands et d’Alliés.
Soudain, un cri, poussé par Gabin : « On a repris Douaumont ! »
Dans la seconde, les travestis sont au garde-à-vous.
Ils arrachent leurs perruques, entonnent la Marseillaise.
Tumulte, cris.
On les évacue de force.

Les sinistres connards qui ont cru servir la Femme, le 8 Mars, en se maquillant les lèvres, sont des clowns.

Même pas des traîtres, ou des parjures.
Des clowns.
Travestis dans leur tête.

Quand il leur faudrait, cent ans après Verdun, se dresser face à un ennemi enfin désigné par son vrai nom, ils ouvrent grand leurs rouges bouches d’égouts-à-pattes pour recevoir son hommage.

Leurs anciens avaient repris Douaumont, et à quel prix!

Ils rendent la place sans même combattre, livrent dans la foulée le pays tout entier dont c’était le rempart.

C’est, vraiment, à leur vomir dessus.

Jean Sobieski

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