Le 25/03/2016
N’en doutons pas, les jours qui viennent vont être riches en déclarations grandiloquentes et en postures guerrières.
Alors que nos sénateurs font acte de résistance en enterrant le projet de déchéance de nationalité voulu par les socialistes, que nos députés adoptent en toute discrétion une loi qui étend le droit du sol des immigrés, non seulement légaux mais aussi aux clandestins (JO du 8 mars), des bombes explosent au cœur de l’Europe, et tuent des dizaines de personnes en Belgique.
N’en doutons pas, les jours qui viennent vont être riches en déclarations grandiloquentes et en postures guerrières.
Nos politiques, ceux là même qui sont désormais dans l’incapacité de gérer le chaos dans lequel ils nous ont plongés, vont tenter, une fois encore, de donner le change.
Selon une méthode bien rodée, ils vont nous annoncer que le pire est à venir, que des forces de sécurité supplémentaires vont être déployées, que nos frontières sont sous contrôle, etc.
Bref, le discours lénifiant auquel les Français sont maintenant habitués.
Et pendant ce temps là, malgré le dévouement de nos forces de sécurité, Daesh va continuer son œuvre destructrice.
Sans pitié, les combattants de l’État islamique vont poursuivre leur Jihâd, n’hésitant pas à recourir aux procédés les plus cruels pour abattre cet occident chrétien honni auquel ils ont déclaré une guerre sans merci.
Combien de morts et de blessés supplémentaires faudra t-il pour que nos dirigeants, en France et en Europe, cessent de vouloir expliquer l’inexplicable ?
Pour qu’ils arrêtent de rechercher des explications par la pauvreté, la marginalisation, la solidarité des démunis ou le découplage du religieux.
En réalité, ces discours ne sont faits que pour tenter de calmer les populations et faire entrer la violence dans un cadre rationnel, car ce que l’on explique fait toujours moins peur.
Dans cette guerre hybride et asymétrique qui nous oppose désormais à Daesh et à ses complices, le temps n’est plus aux paroles mais aux actes.
Les compromis ou les négociations ne font pas partie de la stratégie du Califat.
Il ne recherche que la victoire ou la mort.
Ainsi, mis au pied du mur, les européens doivent faire des choix déterminants pour l’avenir.
Accepter le combat que nous impose les groupes jihâdistes et ne pas hésiter à les traquer là où ils se trouvent y compris dans nos villes et nos cités et, s’il le faut, « jusque dans les chiottes ».
Prendre des mesures fortes pour protéger nos territoires, notamment en reprenant le contrôle de nos frontières.
Mettre un terme définitif au mouvements d’immigrations incontrôlés que nous connaissons depuis plusieurs années.
Renforcer significativement nos moyens de défense et notre arsenal juridique anti-terroriste.
Se montrer impitoyable avec ceux, États ou individus, qui favorisent ou financent le terrorisme international.
Qu’on le veuille ou pas, cette guerre aura un prix qu’il nous faudra payer.
Alors réagissons avant qu’il ne soit trop tard !
Courage à nos amis belges.
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