À quoi ressemblera la population française en 2060 ?

 

On 2 mars 2016 par blancheurope

 

 

 

C’est à cette question qu’a voulu répondre l’INSEE, institut statistique de la France. La démographie est une science très intéressante, mais ses prédictions à long terme sont-elles fiables ?

En vérité, toute la partie politique est imprévisible : les guerres sont imprévisibles évidemment, mais on pourrait y ajouter aussi les émigrations et immigrations.
Oh, certes, dans les grandes lignes on sait que les habitants du Tiers-Monde veulent se rendre dans les pays blancs ; mais tout dépend concrètement du choix politique consistant à les laisser ou non affluer et nous coloniser.
Que valait en 1980 aux États-Unis une prédiction démographique de 1950 qui ne tenait pas compte – et ne le pouvait pas – de l’ouverture des frontières du pays à l’immigration non-blanche de masse ? Pas grand chose.

 

Aujourd’hui, en 2016, au vu de la situation politique en Europe, il est hasardeux de faire des prédictions ne serait-ce qu’au delà de 2020.

Est-il crédible de prévoir une immigration inchangée et une absence de conflit racial d’ici à 2030 ?

 D’ici à 2040 ?

 Non.

D’ici à 2050 et 2060 ?

 Cela frôle l’absurde.

Pourtant, c’est à un pareil exercice que s’est risquée l’INSEE.

Ce qui le rend d’autant plus ridicule, c’est qu’il ne tient – bien entendu – aucun compte des réalités raciales.

Aux États-Unis, par exemple, les prédictions incluent clairement les changements de répartition raciale.

Mais dans une France formatée et dominée par les forces judéo-républicaines, où règne – sincère ou non selon les individus – un égalitarisme absurde qui nous dit que tout le monde se vaut, et que la France ne changerait pas si on remplaçait toute sa population originelle blanche européenne par des hordes de noirs et d'arabes (en tout cas, ne changerait pas au delà de l’aspect culturel), ce n’est guère surprenant.


Le Figaro :

Quel sera le profil de la population française en 2060? Tout d’abord, la France métropolitaine comptera 73,6 millions d’habitants au 1er janvier 2060, selon les projections de population de l’Insee dans son édition 2016 des « Tableaux de l’Economie Française » que publie l’institut ce mardi. Quant à l’âge moyen de la population résidant en France métropolitaine, il passerait à 45 ans en 2060, contre 41,2 ans en 2016, si les tendances démographiques observées jusqu’ici se maintiennent.

« Si les tendances observées jusqu’ici se maintiennent » est la phrase clée.
 On n’en sait rien, et en vérité il y a toutes les raisons pour que ce ne soit pas le cas.
Quand bien même la France mourrait « paisiblement » sans réagir, l’INSEE tient-elle compte des dynamiques raciales pour pouvoir prédire certaines évolutions ?
 Puisqu’elle se l’interdit, et puisqu’elle ne peut prédire l’évolution politique quant à l’immigration, la validité de ses conclusions est très douteuse.
Le seul élément relativement fiable concerne la natalité : l’urbanisation et ses petits appartements, l’atomisation de la sociétés en individus, l’individualisme et l’hédonisme, ainsi que le féminisme et son corollaire de carriérisme féminin, ont des influences dramatiques sur la natalité des blancs, mais touchent aussi assez nettement celle des non-blancs.
 Parce que ses causes fondamentales sont les plus robustes, c’est là l’élément le moins discutable.

Et on pourrait compter pas moins de 200.000 centenaires en 2060. « La pyramide des âges de la France métropolitaine de 2060 renvoie l’image d’une répartition de la population par âge très équilibrée. L’empreinte des grands chocs démographiques passés (Seconde guerre mondiale et babyboom) aura disparu », avertit l’Insee.

L’Allemagne connaît actuellement un « migrant-boom » et sera majoritairement non-blanche d’ici une génération.

En France, on a au moins 20% d’extra-européens et 36% de naissances non-blanches.
Oui, je répète, au moins 36% de naissances non-blanches, et ce pourcentage augmente rapidement.
Il est déjà proche des deux-tiers en Île-de-France.

Pour le futur démographique, les personnes âgées ne comptent guère.
Ce qui compte le plus, ce sont les gens en âge de se reproduire et les enfants.
 Les proportions sur l’ensemble de la population sont plus « rassurantes » mais cachent des proportions beaucoup plus inquiétantes quand on considère les classes d’âges qui peuvent ou pourront se reproduire.
Même sans « migrant-boom », à supposer que la situation politique n’évolue pas (ce qui reste une fantaisie), il y a alors une certitude : une majorité nette de naissances non-blanches en 2040 et une majorité non-blanche totale nette en 2060.
 A ce stade, la France ressemblera à un mélange de théocratie musulmanne et d’Afrique du Sud.
 Et l’Afrique du Sud d’aujourd’hui, ça n’est pas joli.

Ceci étant dit, revenons en à la conclusion du Figaro :

[…]
Côté population active, le nombre d’actifs serait de 31,2 millions en 2060. Du fait de la croissance de la population âgée, il n’y aurait plus que 1,5 actif pour un inactif de plus de 60 ans en 2060 alors qu’ils sont 2,5 actifs pour un inactif de plus de 60 ans en 2016. Il n’y a donc pas de temps à perdre pour allonger l’âge de la retraite !

Alors que nous faisons face à un effondrement civilisationnel (les civilisations européennes découlent des peuples européens, même si nos remplaçants le voulaient ils seraient incapables de maintenir notre civilisation) et littéralement à l’extinction de la race blanche, le judéo-journal Le Figaro vient nous parler de ses retraites, comme si le système avait la moindre chance de survie.

Le futur

Première possibilité : victoire des anti-blancs

2060, c’est dans 54 ans.
Il y a 54 ans, il y avait encore nettement moins d’un million de non-blancs en France métropolitaine. Il y a 54 ans, les États-Unis étaient à 90% blancs.
Il y a 54 ans, la Suède était encore à 100% blanche.
Les choses peuvent énormément changer en 54 ans.

Bref, dans cette hypothèse le futur serait un mélange conflictuel entre des éléments blancs résiduels complètement asservis, et puis ça :

Deuxième possibilité : victoire des nationalistes

Les non-blancs seront expulsés, la dépravation sera sévèrement attaquée, et la natalité blanche sera relancée en osant s’attaquer aux causes fondamentales de sa chute dramatique.
Dans cette optique, le lait et le miel couleront dans nos vallées, et notre histoire millénaire se poursuivra…


Conclusion

Il y a bien des choses à faire.
La démographie de 2060 est tout, sauf décidé.
Alors, maintenant, agissez !