Le 12/06/2015
En définitive, le peuple a toujours raison. Il suffit de l’écouter !
Ce dimanche, une série de résultats électoraux sont tombés.
Bien que ces scrutins se soient déroulés dans d’autres pays que le nôtre, les conséquences nous concernent.
Les Luxembourgeois ont refusé à 78 % de donner le droit de vote aux étrangers lors des législatives.
Je suis toujours sidéré qu’un gouvernement puisse proposer une telle ineptie.
Que des non-nationaux aient le droit de décider du sort d’une nation est une pure hérésie !
Si un étranger a, au bout de cinq ans de présence, la possibilité de prendre la nationalité du pays où il réside, il n’y a aucune raison de l’autoriser à voter, même pour les scrutins locaux.
Il n’a qu’à demander sa naturalisation !
L’ampleur du désaveu luxembourgeois va sans doute faire réfléchir les autres gouvernements, dont le nôtre.
Ils hésiteront à proposer des mesures similaires.
À noter que les habitants du Grand-Duché ont aussi refusé, avec raison, d’abaisser le droit de vote à 16 ans.
Cette chasse au « jeunisme » de la part de nos dirigeants a quelque chose de choquant !
L’autre bonne nouvelle est le recul du parti islamo-conservateur en Turquie.
Il perd sa majorité absolue et devra passer par une coalition pour continuer à gouverner.
Ce parti a fondé nombre de filiales en Europe, dont une en France.
Leurs séides ont flirté avec les 5 % lors des départementales, là où ils se sont présentés.
Ce rassemblement confessionnel constitue, à terme, un risque majeur dans les villes françaises à majorité musulmane (Tourcoing, bientôt Béziers).
Tout ce qui affaiblit le parti islamo-conservateur turc est donc bon à prendre.
Dernier résultat intéressant, peut-être plus sulfureux : la percée de PEGIDA à des élections locales en Allemagne.
Ils ont dépassé 9 % des voix !
Les bien-pensants assimilent islamophobie et racisme. Ils ont oublié que la gauche du XIXe siècle s’est définie d’abord par l’anticléricalisme.
Elle voulait lutter contre l’influence de l’Église et du clergé.
Mais elle prenait soin de ne pas attaquer la religion elle-même.
Qui oserait traiter Gambetta, Clemenceau ou le petit père Combes de racistes ?
Une telle accusation serait grotesque !
Est-ce mal d’être contre la charia, est-ce mal de refuser que les musulmans européens aient un statut à part ?
Est-ce mal d’être choqué qu’une religion impose son mode de pensée à toute une nation ?
Le succès de PEGIDA n’est pas autre chose que ces refus. L’analyser sous l’angle du racisme est ne rien comprendre à une lame de fond qui secoue le peuple allemand.
En définitive, le peuple a toujours raison. Il suffit de l’écouter !
Malheureusement, nos dirigeants sont sourds et obtus, et il faut souvent que les électeurs leur hurlent aux oreilles pour qu’ils comprennent !
Bien que ces scrutins se soient déroulés dans d’autres pays que le nôtre, les conséquences nous concernent.
Les Luxembourgeois ont refusé à 78 % de donner le droit de vote aux étrangers lors des législatives.
Je suis toujours sidéré qu’un gouvernement puisse proposer une telle ineptie.
Que des non-nationaux aient le droit de décider du sort d’une nation est une pure hérésie !
Si un étranger a, au bout de cinq ans de présence, la possibilité de prendre la nationalité du pays où il réside, il n’y a aucune raison de l’autoriser à voter, même pour les scrutins locaux.
Il n’a qu’à demander sa naturalisation !
L’ampleur du désaveu luxembourgeois va sans doute faire réfléchir les autres gouvernements, dont le nôtre.
Ils hésiteront à proposer des mesures similaires.
À noter que les habitants du Grand-Duché ont aussi refusé, avec raison, d’abaisser le droit de vote à 16 ans.
Cette chasse au « jeunisme » de la part de nos dirigeants a quelque chose de choquant !
L’autre bonne nouvelle est le recul du parti islamo-conservateur en Turquie.
Il perd sa majorité absolue et devra passer par une coalition pour continuer à gouverner.
Ce parti a fondé nombre de filiales en Europe, dont une en France.
Leurs séides ont flirté avec les 5 % lors des départementales, là où ils se sont présentés.
Ce rassemblement confessionnel constitue, à terme, un risque majeur dans les villes françaises à majorité musulmane (Tourcoing, bientôt Béziers).
Tout ce qui affaiblit le parti islamo-conservateur turc est donc bon à prendre.
Dernier résultat intéressant, peut-être plus sulfureux : la percée de PEGIDA à des élections locales en Allemagne.
Ils ont dépassé 9 % des voix !
Les bien-pensants assimilent islamophobie et racisme. Ils ont oublié que la gauche du XIXe siècle s’est définie d’abord par l’anticléricalisme.
Elle voulait lutter contre l’influence de l’Église et du clergé.
Mais elle prenait soin de ne pas attaquer la religion elle-même.
Qui oserait traiter Gambetta, Clemenceau ou le petit père Combes de racistes ?
Une telle accusation serait grotesque !
Est-ce mal d’être contre la charia, est-ce mal de refuser que les musulmans européens aient un statut à part ?
Est-ce mal d’être choqué qu’une religion impose son mode de pensée à toute une nation ?
Le succès de PEGIDA n’est pas autre chose que ces refus. L’analyser sous l’angle du racisme est ne rien comprendre à une lame de fond qui secoue le peuple allemand.
En définitive, le peuple a toujours raison. Il suffit de l’écouter !
Malheureusement, nos dirigeants sont sourds et obtus, et il faut souvent que les électeurs leur hurlent aux oreilles pour qu’ils comprennent !
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