Le 09/02/2015
Hollande a franchi le mur du cynisme en manifestant le 11 janvier 2015 contre une situation dont il est coresponsable avec ses prédécesseurs.
Jeudi dernier, à partir de 11 heures, notre Président du 11 janvier a brassé du vent.
Mais un vent qui donne la nausée.
Entretenir l’esprit du 11 janvier : quel esprit, quel 11 janvier ?
Le 21° anniversaire de l’Année internationale de la famille proclamée par l’ONU, l’anniversaire de Mendès France ou les deux ans de l’intervention française au Mali ?
Le 11 janvier 49 (av. J-C.), César franchissait le Rubicon, Hollande a franchi le mur du cynisme en manifestant le 11 janvier 2015 contre une situation dont il est coresponsable avec ses prédécesseurs.
Car il n’y avait pas d’esprit, le 11 janvier, mais le besoin d’exprimer pour beaucoup une émotion et une peur, un besoin de dire non, alors que le 4 février 2015, personne n’a manifesté en disant « Je suis soldat » ou « Je suis Vigipirate ».
Les pompiers pyromanes ont agi en jouant sur nos émotions en nous évitant de réfléchir au pourquoi des actes et en apportant des réponses d’urgence non adaptées sans remettre en cause 40 années de concessions à des lobbies porteurs de voix.
L’exploitation du 11 janvier a permis à un homme une posture pour taire ses impostures, celles de son parti et celles de ses adversaires en place.
Un système bien verrouillé qui ne laisse place à aucune opposition réelle sans l’ostracisme du nationalisme, glorieux chez les autres et banni chez nous.
Aujourd’hui, le vent a été brassé, fini les promesses (dont aucune n’a été tenue), quelques annonces en politique étrangère, et le reste, c’est un thème philosophique dévoyé ; l’égalité à tous les temps, tous les modes, tout sera fait au nom de l’égalité : l’animation des zones de non-droit supportées par nos impôts, du halal pour tous, une éducation sans notes ni compétition et mérite, un service civique universel et facultatif , des impôts payés par un Français sur deux.
En fait, nous menaçons ouvertement les terroristes : attention, si vous faites plus d’actions, vous aurez encore plus de concessions !
Ils vont être impressionnés !
Non, le souffle du 11 janvier commence à avoir l’odeur nauséabonde d’une exploitation à outrance par un gouvernement et un président doctrinaires et apprentis sorciers humanistes, qui diffèrent une explosion par des mesures à contre-pied de leur politique, mais pour mieux y revenir.
Qui croira encore au front républicain, quand un Premier ministre annonce aux jeunes qu’ils devront « s’habituer à vivre avec le terrorisme » sans rappeler le chômage, et qu’il est ovationné par nos élus professionnels ?
La prise de conscience est difficile du fait de l’emprise de la pensée unique (seule liberté d’expression autorisée).
Elle risque d’en être d’autant plus brutale que l’esprit du 11 janvier n’a jamais existé et que les mesures prises sont encore des concessions à nos frais, en réduisant nos libertés de penser, d’agir et d’éduquer, pour nous imposer plus de sacrifices et de souffrances.
Au nom de quoi ?
Pas de la grandeur de la France, devenue sixième puissance mondiale sous le règne de François Zéro.
Mais un vent qui donne la nausée.
Entretenir l’esprit du 11 janvier : quel esprit, quel 11 janvier ?
Le 21° anniversaire de l’Année internationale de la famille proclamée par l’ONU, l’anniversaire de Mendès France ou les deux ans de l’intervention française au Mali ?
Le 11 janvier 49 (av. J-C.), César franchissait le Rubicon, Hollande a franchi le mur du cynisme en manifestant le 11 janvier 2015 contre une situation dont il est coresponsable avec ses prédécesseurs.
Car il n’y avait pas d’esprit, le 11 janvier, mais le besoin d’exprimer pour beaucoup une émotion et une peur, un besoin de dire non, alors que le 4 février 2015, personne n’a manifesté en disant « Je suis soldat » ou « Je suis Vigipirate ».
Les pompiers pyromanes ont agi en jouant sur nos émotions en nous évitant de réfléchir au pourquoi des actes et en apportant des réponses d’urgence non adaptées sans remettre en cause 40 années de concessions à des lobbies porteurs de voix.
L’exploitation du 11 janvier a permis à un homme une posture pour taire ses impostures, celles de son parti et celles de ses adversaires en place.
Un système bien verrouillé qui ne laisse place à aucune opposition réelle sans l’ostracisme du nationalisme, glorieux chez les autres et banni chez nous.
Aujourd’hui, le vent a été brassé, fini les promesses (dont aucune n’a été tenue), quelques annonces en politique étrangère, et le reste, c’est un thème philosophique dévoyé ; l’égalité à tous les temps, tous les modes, tout sera fait au nom de l’égalité : l’animation des zones de non-droit supportées par nos impôts, du halal pour tous, une éducation sans notes ni compétition et mérite, un service civique universel et facultatif , des impôts payés par un Français sur deux.
En fait, nous menaçons ouvertement les terroristes : attention, si vous faites plus d’actions, vous aurez encore plus de concessions !
Ils vont être impressionnés !
Non, le souffle du 11 janvier commence à avoir l’odeur nauséabonde d’une exploitation à outrance par un gouvernement et un président doctrinaires et apprentis sorciers humanistes, qui diffèrent une explosion par des mesures à contre-pied de leur politique, mais pour mieux y revenir.
Qui croira encore au front républicain, quand un Premier ministre annonce aux jeunes qu’ils devront « s’habituer à vivre avec le terrorisme » sans rappeler le chômage, et qu’il est ovationné par nos élus professionnels ?
La prise de conscience est difficile du fait de l’emprise de la pensée unique (seule liberté d’expression autorisée).
Elle risque d’en être d’autant plus brutale que l’esprit du 11 janvier n’a jamais existé et que les mesures prises sont encore des concessions à nos frais, en réduisant nos libertés de penser, d’agir et d’éduquer, pour nous imposer plus de sacrifices et de souffrances.
Au nom de quoi ?
Pas de la grandeur de la France, devenue sixième puissance mondiale sous le règne de François Zéro.
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