Votre quinquennat restera dans l’Histoire comme celui des occasions manquées pour réunir et refonder la communauté nationale.
Ne pas céder à la panique?
C’est un peu court.
Il y eut M. Merah en 2012, il y eut M. Nemmouche en 2014. Il y eut une institutrice assassinée dans sa classe en juin.
Des policiers attaqués dans leur commissariat il y a quelques jours.
Et une dizaine de passants fauchés par un « déséquilibré » criant « Allah Akbar » à Dijon.
Et ces centaines de Français musulmans qui partent rejoindre l’État islamique qui décapite, viole et massacre chrétiens, juifs et musulmans.
On a, bien entendu, la voix de votre ministre de l’Intérieur parlant de « mobilisation générale ».
Mais vous, M. le Président, qu’avez-vous dit ?
Qu’avez-vous fait ?
Une photo de Noël dans la cour de l’Élysée au milieu d’enfants uniquement black-black-beur.
Un discours pro-immigration condamnant la France du « dépit » et du « repli ».
Puis la censure d’un journaliste juif dénonçant les dérives de l’islamisme jusque sur notre sol.
Et enfin une recommandation : « Ne pas céder à la panique. »
Si c’est là la seule réponse que vous puissiez apporter à la situation de guerre que reconnaît M. Cazeneuve, elle n’est pas digne de votre fonction.
Car les Français, les 39 % d’inscrits qui vous ont élu, mais aussi les autres, les 17 % qui vous font confiance, mais aussi les autres, tous les Français, quelles que soient leurs convictions ou leurs origines, sont en droit d’attendre de vous une parole, de rassemblement certes, mais aussi de vérité et de fermeté.
Il est grand temps de dire, M. le Président, que la France du dépit et du repli, c’est d’abord celle de l’islamisme radical.
Votre quinquennat restera dans l’Histoire comme celui des occasions manquées pour réunir et refonder la communauté nationale.
En 2012, mal élu grâce au secours des voix centristes de M. Bayrou, vous l’avez ignoré et vous avez appliqué un programme économique calamiteux.
En 2013, face à la Manif pour tous, comme le reconnaît Gaël Brustier dans son livre Le Mai 1968 conservateur, vous avez encore ignoré la profondeur de ce mouvement calme et déterminé porteur de revendications éthiques fortes.
En 2014, devant le résultat historique des élections européennes plaçant le FN à 25 % devant tous les partis de gouvernement, vous n’avez pas non plus su trouver les mots et les actes qui s’imposaient dans cette nouvelle situation.
Aujourd’hui que la France est en guerre contre le terrorisme islamiste, il est temps de désigner clairement l’ennemi, en évitant évidemment tout amalgame, mais aussi de rendre hommage à la sérénité et au calme des Français.
Mais, de grâce, cessez de fustiger le « repli » et le « dépit » de certains, par ailleurs souvent justifiés, et osez condamner la bête immonde là où elle est : dans l’islamisme.
Il en va, non de l’hypothétique rebond de votre popularité, mais de la France et des Français.
Que vous faut-il encore ?
Quelle nouvelle catastrophe ?
Certes, le climat est explosif et votre tempérament ne fait pas de vous l’homme de la situation.
Mais les Français sont en droit d’exiger de vous que vous sortiez enfin de ce somnambulisme qui mène les peuples à l’abîme.
C’est un peu court.
Il y eut M. Merah en 2012, il y eut M. Nemmouche en 2014. Il y eut une institutrice assassinée dans sa classe en juin.
Des policiers attaqués dans leur commissariat il y a quelques jours.
Et une dizaine de passants fauchés par un « déséquilibré » criant « Allah Akbar » à Dijon.
Et ces centaines de Français musulmans qui partent rejoindre l’État islamique qui décapite, viole et massacre chrétiens, juifs et musulmans.
On a, bien entendu, la voix de votre ministre de l’Intérieur parlant de « mobilisation générale ».
Mais vous, M. le Président, qu’avez-vous dit ?
Qu’avez-vous fait ?
Une photo de Noël dans la cour de l’Élysée au milieu d’enfants uniquement black-black-beur.
Un discours pro-immigration condamnant la France du « dépit » et du « repli ».
Puis la censure d’un journaliste juif dénonçant les dérives de l’islamisme jusque sur notre sol.
Et enfin une recommandation : « Ne pas céder à la panique. »
Si c’est là la seule réponse que vous puissiez apporter à la situation de guerre que reconnaît M. Cazeneuve, elle n’est pas digne de votre fonction.
Car les Français, les 39 % d’inscrits qui vous ont élu, mais aussi les autres, les 17 % qui vous font confiance, mais aussi les autres, tous les Français, quelles que soient leurs convictions ou leurs origines, sont en droit d’attendre de vous une parole, de rassemblement certes, mais aussi de vérité et de fermeté.
Il est grand temps de dire, M. le Président, que la France du dépit et du repli, c’est d’abord celle de l’islamisme radical.
Votre quinquennat restera dans l’Histoire comme celui des occasions manquées pour réunir et refonder la communauté nationale.
En 2012, mal élu grâce au secours des voix centristes de M. Bayrou, vous l’avez ignoré et vous avez appliqué un programme économique calamiteux.
En 2013, face à la Manif pour tous, comme le reconnaît Gaël Brustier dans son livre Le Mai 1968 conservateur, vous avez encore ignoré la profondeur de ce mouvement calme et déterminé porteur de revendications éthiques fortes.
En 2014, devant le résultat historique des élections européennes plaçant le FN à 25 % devant tous les partis de gouvernement, vous n’avez pas non plus su trouver les mots et les actes qui s’imposaient dans cette nouvelle situation.
Aujourd’hui que la France est en guerre contre le terrorisme islamiste, il est temps de désigner clairement l’ennemi, en évitant évidemment tout amalgame, mais aussi de rendre hommage à la sérénité et au calme des Français.
Mais, de grâce, cessez de fustiger le « repli » et le « dépit » de certains, par ailleurs souvent justifiés, et osez condamner la bête immonde là où elle est : dans l’islamisme.
Il en va, non de l’hypothétique rebond de votre popularité, mais de la France et des Français.
Que vous faut-il encore ?
Quelle nouvelle catastrophe ?
Certes, le climat est explosif et votre tempérament ne fait pas de vous l’homme de la situation.
Mais les Français sont en droit d’exiger de vous que vous sortiez enfin de ce somnambulisme qui mène les peuples à l’abîme.
De partir, de partir ,vous êtes bons vous ..Vous croyez que vous l'avez bien engraisser ..NON !! encore deux ans mes agneaux bien tendre ...
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