Le marcheur englué jusqu'au cou dans la boue européiste va finir par le découvrir : la politique ne peut pas se faire éternellement sans l'appui du peuple...
Depuis ce lugubre 25 mai, le soir où le plafond de verre lui tomba sur le Front, il erre dans les couloirs de l’improbable.
Il scrute les placards entrouverts dans l’idée de s’y cacher le temps que ça passe.
François Hollande entame, cette semaine, sa longue marche immobile, celle qui doit théoriquement aller au bout du chemin, l’an de grâce et de coups fourrés 2017.
L’époque est effrayante, et on ne peut plus compter, comme du temps de Tonton, sur les voisins d’à côté.
En ce temps-là, le loup Chirac, la « République des clans », ça vous fouettait la moelle épinière, ça ragaillardissait l’apparatchik en cravate.
Mais aujourd’hui que tout le monde pense Europe…
Pensez donc, le vendeur de pains au chocolat avait au moins le mérite de faire peur aux bobos.
Mais, Jean-François viré tel un malpropre, la maison UMP est infestée par une odeur d’égout.
C’est FOG qui le dit, vilain petit canard à la touffe argentée crachant dans la mare.
S’évader à tout prix de ce quotidien fou, de ces « unes » de plus en plus écœurantes, du mépris général.
S’imaginer encore grand, sur les plages normandes, le 6 juin, avec Vladimir, Barack ou Angela.
En attendant de vraiment se faire débarquer, le Président rêve de « big bang » et de « choc » avec mièvrerie.
Quasi sexuel, il veut fusionner la France, l’étreindre d’un coup sec en lui susurrant post-coït l’histoire des douze super régions.
Un projet un peu baroque, où les départements pourront changer de province, « si possible volontairement », nous dit-on.
D’annonces virevoltantes en discours joyeusement dépressifs, François le blagueur s’enferme dans sa chambre d’enfant, empoignant ses jouets de peur que Manu le caïd les lui chipe.
La réforme du mille-feuille est une pâtisserie trop sucrée pour un obèse, et malheureusement pour lui, François est une sorte de Matteo Renzi qui aurait un peu trop de caries purulentes dans la bouche pour qu’on l’embrasse.
En plus, ce fieffé rital, qui se permet de jouer les cadors en écrasant les européennes, plaît aux femmes !
Mais advienne que pourra, le fougueux livreur de croissants va se lancer, réécrire la carte et le territoire, boucler tout ça avec la vigueur d’un boss.
Montrant soudain ses biceps mous, il récidive ce lundi, devant le conseil de défense, lui le chef désarmé, en clamant haut et fort que non, il ne restera pas sourd aux plaintes de la « grande muette » : les crédits militaires seront « totalement » préservés.
Nouvelle carte, France toujours forte.
On sait bien que rien ne se fera comme prévu, car déjà la gauche antifrançaise réclame l’abandon de la dissuasion nucléaire, déjà les féodaux se braquent dans leurs contrées subventionnées.
Pour François, les ennuis ne font que continuer.
Le marcheur englué jusqu’au cou dans la boue européiste va finir par le découvrir : la politique ne peut pas se faire éternellement sans l’appui du peuple…
Il scrute les placards entrouverts dans l’idée de s’y cacher le temps que ça passe.
François Hollande entame, cette semaine, sa longue marche immobile, celle qui doit théoriquement aller au bout du chemin, l’an de grâce et de coups fourrés 2017.
L’époque est effrayante, et on ne peut plus compter, comme du temps de Tonton, sur les voisins d’à côté.
En ce temps-là, le loup Chirac, la « République des clans », ça vous fouettait la moelle épinière, ça ragaillardissait l’apparatchik en cravate.
Mais aujourd’hui que tout le monde pense Europe…
Pensez donc, le vendeur de pains au chocolat avait au moins le mérite de faire peur aux bobos.
Mais, Jean-François viré tel un malpropre, la maison UMP est infestée par une odeur d’égout.
C’est FOG qui le dit, vilain petit canard à la touffe argentée crachant dans la mare.
S’évader à tout prix de ce quotidien fou, de ces « unes » de plus en plus écœurantes, du mépris général.
S’imaginer encore grand, sur les plages normandes, le 6 juin, avec Vladimir, Barack ou Angela.
En attendant de vraiment se faire débarquer, le Président rêve de « big bang » et de « choc » avec mièvrerie.
Quasi sexuel, il veut fusionner la France, l’étreindre d’un coup sec en lui susurrant post-coït l’histoire des douze super régions.
Un projet un peu baroque, où les départements pourront changer de province, « si possible volontairement », nous dit-on.
D’annonces virevoltantes en discours joyeusement dépressifs, François le blagueur s’enferme dans sa chambre d’enfant, empoignant ses jouets de peur que Manu le caïd les lui chipe.
La réforme du mille-feuille est une pâtisserie trop sucrée pour un obèse, et malheureusement pour lui, François est une sorte de Matteo Renzi qui aurait un peu trop de caries purulentes dans la bouche pour qu’on l’embrasse.
En plus, ce fieffé rital, qui se permet de jouer les cadors en écrasant les européennes, plaît aux femmes !
Mais advienne que pourra, le fougueux livreur de croissants va se lancer, réécrire la carte et le territoire, boucler tout ça avec la vigueur d’un boss.
Montrant soudain ses biceps mous, il récidive ce lundi, devant le conseil de défense, lui le chef désarmé, en clamant haut et fort que non, il ne restera pas sourd aux plaintes de la « grande muette » : les crédits militaires seront « totalement » préservés.
Nouvelle carte, France toujours forte.
On sait bien que rien ne se fera comme prévu, car déjà la gauche antifrançaise réclame l’abandon de la dissuasion nucléaire, déjà les féodaux se braquent dans leurs contrées subventionnées.
Pour François, les ennuis ne font que continuer.
Le marcheur englué jusqu’au cou dans la boue européiste va finir par le découvrir : la politique ne peut pas se faire éternellement sans l’appui du peuple…
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