20 mars 2014, 9:44
Nous ne cessons de constater cette inversion totale de la hiérarchisation des races chère à Hitler, au nom de l’anti-hitlérisme bon teint.
Hitler plaçait les minorités (juifs, arabes, noirs) en bas de l’échelle humaine et les blancs tout en haut, les prétendus anti-nazis actuels font l’inverse, ils placent les minorités en haut de l’échelle humaine et les blancs tout en bas.
L’inverse du racisme n’est pas l’antiracisme, c’est le racialisme et c’est tout aussi condamnable que le racisme.
Ainsi Mme Taubira bénéficie-t-elle d’une protection due à sa triple condition de femme, de noire et de gauche.
Et l’on peut dire que le racialisme protège Mme Taubira.
Christiane Taubira a reçu l’onction suprême, non pas en devenant ministre, mais en devenant la prétendue cible d’un prétendu racisme contre elle de la part de membres du FN et d’un journal proche du FN.
En fait, toute cette affaire avait été montée en épingle pour faire diversion de l’échec permanent du gouvernement aux affaires, et pour lui donner le beau rôle. Si un de ses membres est victime de racisme, c’est forcément qu’il est le Bien luttant contre le Mal.
Plus d’une semaine entière, ce fut le principal thème de discussion dans tous les médias du pays, une disproportion telle qu’elle aurait dû en paraître ridicule.
Il n’en fut rien.
Depuis, et même avant, Mme Taubira avait enfilé les erreurs et les casseroles comme d’autres enfilent les perles.
Pourtant, elle est toujours là, et elle le dit haut et fort, prise en flagrant délit de mensonge éhontée dans l’affaire Sarkoleaks : elle ne démissionnera pas.
Le problème n’est pas qu’elle démissionne, mais qu’elle ne soit pas virée par un Président de la République lui-même au plus bas dans les sondages d’opinion.
S’il virait Taubira, toute la politique de terreur psychologique qu’il a contribué à mettre en œuvre pourrait se retourner contre lui.
Il vire une femme noire donc il est contre les femmes et les noires !
Cette absurdité régit désormais notre monde dominé par les socialistes et leurs amis communistes et trotskystes.
Si un noir est viré de son travail, le patron qui le vire pourra se voir accuser, par l’employé viré mais aussi par les syndicats, les médias, les artistes (noirs ou pas), etc. de raciste anti-noir.
Pourtant, s’il l’était, il n’aurait jamais embauché ce salarié !
Mais ce raisonnement ne compte pas devant le déferlement d’émotion lié à l’hystérisation du débat voulue par la gauche, dont c’est le gagne-pain.
Pas d’émotions délirantes, pas de gauche.
La raison raye le socialisme et le communisme de la carte des idées utiles à l’humanité, tandis que l’émotion les maintient à bout de bras, au détriment de tous (sauf d’une caste socialo-communiste).
Ainsi, au lieu d’être racialement neutre, notre monde moderne est obsédé par la race, et quiconque ne l’est pas est automatiquement accusé de racisme.
Nous n’avons ainsi tiré aucune leçon du nazisme, et ceux qui font la leçon aux collabos de 40-45 se verront traîner dans la boue par l’Histoire en tant que racistes modernes, jugeant les humains sur la base de la couleur de leur peau, ou de leur sexe, ou de leur orientation politique, plutôt que de leurs actes.
Nous vivons avec bonne conscience la période la plus raciste de l’histoire.
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