Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a décidé de reprendre vertement un pompier qui refusait de lui serrer la main.
Anticipant probablement la sévère déconvenue électorale du premier tour des élections municipales, le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a décidé de reprendre vertement un pompier qui refusait de lui serrer la main à Grenoble.
Le ton de l’échange fut houleux et caractéristique de la nature rigide du pouvoir socialiste depuis deux ans.
Sourds aux cris du peuple, enfermés dans une tour d’ivoire, les gouvernants répondent de plus en plus abruptement aux critiques qui leur sont formulées.
Quand le jeune pompier a refusé de saluer le ministre, celui-ci lui a répliqué à sa façon toujours autoritaire : « Quand on refuse de serrer la main à une personne, c’est qu’on a perdu ses valeurs. […] Il y a une hiérarchie chez les sapeurs-pompiers, et vous devez la respecter ! Et si je viens ici pour dialoguer avec des sapeurs-pompiers, ce n’est pas pour qu’on refuse de me tenir la main… de me serrer la main. »
Cette réaction épidermique témoigne de la grande fébrilité actuelle du gouvernement
; pris au piège d’un calamiteux bilan politique, Manuel Valls se dévoile en autocrate vexé.
Ce n’est pas courtois pour ce pompier, de refuser de serrer la main du ministre, mais nous sommes en démocratie et sa réaction peut être analysée comme une objection de conscience, lancée en réaction à un pouvoir qu’il juge certainement indigne.
En effet, les corps constitués sont abandonnés à la violence des rues, et n’ont pas les moyens d’exercer correctement les fonctions auxquelles ils sont assignés.
Manuel Valls en appelle au respect des « valeurs », de la « hiérarchie », quand lui même et son parti n’ont pour seul programme que d’empêcher le Front national d’accéder à des mairies.
C’est-à-dire de refuser au peuple de France sa libre détermination politique.
Leurs fidèles serviteurs s’ajoutent dans cette lutte, qu’ils souhaiteraient symbolique d’un affrontement quasi biblique, opposant le « bien socialiste » au « mal populaire ».
On peut citer, par exemple, le cas du directeur du Festival d’Avignon, monsieur Olivier Py, qui a déclaré que si le candidat du Front national devenait maire d’Avignon, il ferait déménager son festival annuel.
Du chantage et un profond dégoût du peuple.
Car, en creux, se fait jour le discours qui voudrait que les électeurs du Front national et leurs représentants ne soient que des semi-débiles effrayés par la culture !
Le mépris de ce sapeur-pompier n’est qu’une réponse à ce constant mépris de classe qu’affichent ostensiblement les bobocrates socialistes.
Tout infatués de leur pouvoir, de leur supposée supériorité morale, de leurs abstraites valeurs, ou de cette « culture » qu’ils pensent être leur monopole.
Les tensions n’iront qu’en s’intensifiant tant que Manuel Valls et les siens répondront aux attentes légitimes des Français par des leçons de morale vides de sens.
Et moi-même, si l’occasion m’en était donnée, je refuserais pareillement de serrer la main du ministre, en préférant le mot de Cambronne : « Merde » !
Le ton de l’échange fut houleux et caractéristique de la nature rigide du pouvoir socialiste depuis deux ans.
Sourds aux cris du peuple, enfermés dans une tour d’ivoire, les gouvernants répondent de plus en plus abruptement aux critiques qui leur sont formulées.
Quand le jeune pompier a refusé de saluer le ministre, celui-ci lui a répliqué à sa façon toujours autoritaire : « Quand on refuse de serrer la main à une personne, c’est qu’on a perdu ses valeurs. […] Il y a une hiérarchie chez les sapeurs-pompiers, et vous devez la respecter ! Et si je viens ici pour dialoguer avec des sapeurs-pompiers, ce n’est pas pour qu’on refuse de me tenir la main… de me serrer la main. »
Cette réaction épidermique témoigne de la grande fébrilité actuelle du gouvernement
; pris au piège d’un calamiteux bilan politique, Manuel Valls se dévoile en autocrate vexé.
Ce n’est pas courtois pour ce pompier, de refuser de serrer la main du ministre, mais nous sommes en démocratie et sa réaction peut être analysée comme une objection de conscience, lancée en réaction à un pouvoir qu’il juge certainement indigne.
En effet, les corps constitués sont abandonnés à la violence des rues, et n’ont pas les moyens d’exercer correctement les fonctions auxquelles ils sont assignés.
Manuel Valls en appelle au respect des « valeurs », de la « hiérarchie », quand lui même et son parti n’ont pour seul programme que d’empêcher le Front national d’accéder à des mairies.
C’est-à-dire de refuser au peuple de France sa libre détermination politique.
Leurs fidèles serviteurs s’ajoutent dans cette lutte, qu’ils souhaiteraient symbolique d’un affrontement quasi biblique, opposant le « bien socialiste » au « mal populaire ».
On peut citer, par exemple, le cas du directeur du Festival d’Avignon, monsieur Olivier Py, qui a déclaré que si le candidat du Front national devenait maire d’Avignon, il ferait déménager son festival annuel.
Du chantage et un profond dégoût du peuple.
Car, en creux, se fait jour le discours qui voudrait que les électeurs du Front national et leurs représentants ne soient que des semi-débiles effrayés par la culture !
Le mépris de ce sapeur-pompier n’est qu’une réponse à ce constant mépris de classe qu’affichent ostensiblement les bobocrates socialistes.
Tout infatués de leur pouvoir, de leur supposée supériorité morale, de leurs abstraites valeurs, ou de cette « culture » qu’ils pensent être leur monopole.
Les tensions n’iront qu’en s’intensifiant tant que Manuel Valls et les siens répondront aux attentes légitimes des Français par des leçons de morale vides de sens.
Et moi-même, si l’occasion m’en était donnée, je refuserais pareillement de serrer la main du ministre, en préférant le mot de Cambronne : « Merde » !
Ce sinistre Adolphe Valls ne récolte que ce qu'il sème à longueur de temps : le mépris.
RépondreSupprimerCe dictateur venu d'un autre monde n'a rien à faire dans un gouvernement français.