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lundi 3 février 2014

Quand les médias perdent leur esprit critique.





Manuel Valls est le diviseur et le pyromane.

Il existe, en effet, un soutien de fait entre une grande partie de la presse et le pouvoir sur les questions sociétales.
 S’il faut se féliciter des indignations unanimes qu’ont suscitées les débordements antisémites du Jour de Colère, l’autre semaine, les médias ne sont pour autant guère curieux sur la montée des sentiments anti-juifs, mis uniquement sur le compte de l’extrême droite.
La commodité politico-médiatique permet de ne pas voir les semblables haines portées par l’islam radical, la gauche complotiste, l’extrême gauche antisioniste et les antinationalistes qui vomissent Israël, symbole de l’Etat-nation.
L’absence d’esprit critique des perroquets à cartes de presse se vérifie aussi par le mépris qu’ils portent aux protestations "populistes", et plus singulièrement par l’aval qu’ils donnent aux calembredaines socialistes assurant de l’inexistence de la "théorie du genre", dont la gauche s‘est repue ces dernières années.

 Ce suivisme autorise même des journalistes à verbaliser leurs confrères.
Vendredi, dans Le Grand Journal de Canal+, Jean-Michel Aphatie, petit flic, a reproché au Figaro, représenté en l’occurrence par Yves Thréard, d’avoir publié ("Et vous avez publié ça !") mon dernier bloc-notes, désagréable pour François Hollande.

Ce lundi matin, sur Europe 1, Jean-François Copé à évoqué  les "médias antidémocratiques".

 Leur docilité n’est plus un contre pouvoir.

Je participerai, ce lundi, à un débat sur France 24 (19h10-20h).
Je participerai, mardi, à Choisissez votre camp (10h15-11H) sur LCI, puis à On refait le monde, sur RTL (19h15-20h)

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