Translate

lundi 17 février 2014

Hollande, le président vassal.

Ça ne suffisait pas à Mr Francis Holland d’avoir rampé pendant une semaine aux tout-puissants « States », d’avoir d’accéléré dans notre dos les négociations sur le « Grand Marché Transatlantique », de s’être excusé d’avoir un tout petit peu speaké français (si peu !) dans la capitale du tout-anglais impérial, d’avoir affiché son alignement sur Washington à propos de l’Ukraine (et vive la guerre civile téléguidée par l’U.E. atlantique), de la Syrie, de l’Afrique, etc.

Le petit vassal de l’Oncle Sam (et d’A. Merkel) qui siège à l’Elysée va désormais recevoir à Paris une trentaine de « grands investisseurs étrangers » ; il va discuter avec eux de l’ « attractivité de la France ».
En clair, il va humblement demander aux futurs colonisateurs du pays ce qu’à leur avis, il faut ENCORE supprimer sur le territoire du French Euroland : Sécurité sociale, retraites par répartition, indemnités chômage, cotisations patronales restantes, Code du travail, officialité de la langue française, conventions collectives, Education nationale, etc. pour que Leurs Majestés Patronales Transatlantiques daignent venir surexploiter le « Frenchie » reconnaissant à domicile…
 
 C’est ce type de reptation devant les puissants – et de coup de poignard dans le dos des « petits » – que la droite et les médias dominants nomment le « courage politique de Hollande » !


Et dire qu’il y a encore des naïfs qui croient que la politique de la France est décidée démocratiquement par le peuple français !
 Et dire qu’on trouve encore de sages et candides enseignants qui enseignent cela dans leur classe, qui plus est en fustigeant les lointains « pays communistes totalitaires »…

En attendant, la leçon est claire une fois de plus : comme elles l’ont toujours fait par le passé, de l’Evêque Cauchon aux Kollabos de Vichy en passant par les émigrés de Koblenz et par les versaillais de Thiers, les classes privilégiées de France bradent le pays aux maîtres étrangers pour mieux écraser le peuple français.
Il s’ensuit donc que les représentants politiques du peuple travailleur – les communistes – doivent prendre la suite des combattants passés pour l’indépendance nationale en défendant à la fois le monde du travail et l’existence de notre Nation menacée de dissolution finale dans le « Grand marché » euro-atlantique.

Drapeau rouge et drapeau tricolore en mains, sortons-les et surtout, sortons-en, avant que notre pays ne plonge pour longtemps dans le sous-développement social et l’avilissement national.

source

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.