L'étudiante de 18 ans avait prétendu avoir été victime d'une agression raciste en octobre, dans un contexte politique tendu entre militants de gauche et d'extrême droite.
Une militante de l’Unef, étudiante à Nanterre (Hauts-de-Seine), qui a reconnu avoir inventé une agression à connotation raciste a été condamnée lundi à Paris à un mois de prison avec sursis pour «dénonciation de délit imaginaire», a-t-on appris de source judiciaire.
Cette militante de 18 ans a avoué avoir inventé cette attaque pour donner plus d’ampleur à une autre agression subie le 17 octobre par une étudiante de Paris-I, membre elle aussi de l’Unef.
Lundi, la jeune femme a été condamnée dans le cadre d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC).
Lors de cette procédure dite de «plaider-coupable», le procureur propose une peine au prévenu, avant homologation par un magistrat du siège.
Cette militante de 18 ans a avoué avoir inventé cette attaque pour donner plus d’ampleur à une autre agression subie le 17 octobre par une étudiante de Paris-I, membre elle aussi de l’Unef.
Lundi, la jeune femme a été condamnée dans le cadre d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC).
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