Publié le - Mis à jour le
Les hommes du 27ème bataillon de Chasseurs alpins sécurisent l'aéroport de Bangui, ici le 1er octobre.
Plus d'un millier d'hommes devrait être engagés
Le calendrier de l'intervention est conditionné au vote d'une résolution par le Conseil de sécurité des Nations unies, afin de donner un cadre légal qui se fera sous chapitre VII - c'est-à-dire de manière robuste.
Il s'agit d'une opération franco-africaine, impliquant également des pays d'Afrique centrale.
A Paris, on s'inquiète de la dégradation sécuritaire sur le terrain où le conflit prend de plus en plus la forme d'affrontements interconfessionnels, entre musulmans et chrétiens.
Des massacres de grande ampleur sont redoutés et certains interlocuteurs évoquent même le Rwanda.
L'essentiel de l'opération consisterait à sécuriser deux ou trois grands axes routiers, indispensables à la vie économique de ce pays enclavé, notamment en direction du Cameroun et du Tchad.
Dans un deuxième temps, l'armée française appuyerait les forces africaines ou celles de la Misca (casques bleus).
Comme cela avait ét le cas en Ituri (est de la RD Congo), il est probable que des forces spéciales soient dépêchées sur place - si elles n'y sont pas déjà discrètement à l'oeuvre - qui iraient se frotter avec les groupes les plus violents.
Actualisé : le président Hollande a parlé, jeudi, de "renforcer sensiblement" la présence militaire française.
Traduit en langage opérationnel, c'est donc l'option haute qui est retenue, avec des effectifs sur place d'environ 1200 hommes- soit un renfort d'environ 800 hommes.
Il s'agit d'une opération franco-africaine, impliquant également des pays d'Afrique centrale.
A Paris, on s'inquiète de la dégradation sécuritaire sur le terrain où le conflit prend de plus en plus la forme d'affrontements interconfessionnels, entre musulmans et chrétiens.
Des massacres de grande ampleur sont redoutés et certains interlocuteurs évoquent même le Rwanda.
L'essentiel de l'opération consisterait à sécuriser deux ou trois grands axes routiers, indispensables à la vie économique de ce pays enclavé, notamment en direction du Cameroun et du Tchad.
Dans un deuxième temps, l'armée française appuyerait les forces africaines ou celles de la Misca (casques bleus).
Comme cela avait ét le cas en Ituri (est de la RD Congo), il est probable que des forces spéciales soient dépêchées sur place - si elles n'y sont pas déjà discrètement à l'oeuvre - qui iraient se frotter avec les groupes les plus violents.
Actualisé : le président Hollande a parlé, jeudi, de "renforcer sensiblement" la présence militaire française.
Traduit en langage opérationnel, c'est donc l'option haute qui est retenue, avec des effectifs sur place d'environ 1200 hommes- soit un renfort d'environ 800 hommes.
Après et toujours avec le MALI, HOLLANDE va enliser la FRANCE en AFRIQUE en inadéquation totale avec les mesures restrictives touchant la Défense
RépondreSupprimer