26.11.2013
« Mon pays c’est l’Algérie, la France c’est juste pour le coté sportif » c’est ainsi que s’exprime l’attachement de Karim Benzema au pays qui lui a tout donné, le « buteur » miraculeux des bleus a au moins le mérite de la franchise, la France que lui et ses semblables sont en train de tiers-mondiser n’est bonne qu’a nourrir les racailles futures « élites ».
La victoire des bleus célébrée comme il se doit sur les Champs-Elysées par des milliers de drapeaux algériens aux cris de « on est chez nous » donnent effectivement raison à Karim et ses amis, les drapeaux Français, même les médias aux ordres étaient gênées de constater leur quasi- absence.
Cela n’a pas gâché la fête puisque comme il se doit poubelles incendiées, voitures vandalisées et autres incivilités étaient au rendez-vous du miracle footballistique .
Même monsieur bricolage, nous a gratifié d’un parallèle entre son action gouvernementale désastreuse et la victoire de son équipe nationale, comme quoi rien n’est perdu même dans les cas les plus désespérés, il y aura toujours un con d’instit de gauche pour y croire.
Le seul véritable parallèle à retenir, c’est que c’est bien le vote des benzemas et compagnie qui puisse encore garder au pouvoir la lie socialo-universaliste, seule capable de défendre les valeurs humanistes de la république bananière France.
Donc celui que « l’on obligera pas à chanter la marseillaise » (dixit) va défendre avec les autres stars du ballon le maillot de la France au Brésil, il me vient comme une envie de crier « forza Italia » ou « viva España »…
Cela me rappellera que nous étions une nation européenne et fière.
source
Peu importe quel pays est de Benzema
RépondreSupprimerIl est digne d'être fiers!