Cette attaque fit 34 morts et 173 blessés graves.
Lyndon Johnson, alors président des États-Unis, bien que fervent partisan d'Israël, accusa Israël d’avoir attaqué volontairement l’USS Liberty. Peut de temps après, il fut menacé de perdre le soutien financier des lobbies juifs, principaux contributeurs aux campagnes électorales américaines. Cette menace faisait peser un risque considérable sur sa carrière politique. Pour préserver son avenir, Johnson mit tout en œuvre pour minimiser l'attaque israélienne contre ce navire de guerre américain. Les autorités américaines sont allées jusqu'à rabaisser les survivants et leurs familles.
Certains prétendent même qu'il y aurait eu un accord secret entre Tel Aviv et la Maison-Blanche pour couler le Liberty et en imputer la responsabilité à l'Égypte, afin de justifier une attaque américaine contre Le Caire. Des témoignages ont révélé que trois avions de chasse américains, stationnés sur des porte-avions de la sixième flotte, étaient déjà équipés de bombes nucléaires avant l'attaque du Liberty. Cependant, après l'échec de la tentative de couler le navire, des bombes conventionnelles furent montées à la place des bombes nucléaires.
un petit pays au grand peuple vous nike le cerveau tellement votre jalousie vous ettouffe les goys
RépondreSupprimer