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lundi 30 septembre 2024

Julia et sa mère, victimes du bombardement de l’entité Sioniste au Liban, une extermination silencieuse…

 


 
 
Photo sur la page Facebook de Julia où elle mentionne ces quelques mots : « Maman, tu es un chef-d’œuvre, un mélange de force, de grâce et d’amour Bonne fête des femmes à ma plus grande inspiration » 
 

  le 30/09/24

 

Julia Ramadan, jeune Libanaise engagée dans l’humanitaire, a été tuée lors d’un raid israélien à Sidon. 

Comme des centaines d'autres civils, elle a été victime de frappes qui visent sans distinction les familles et les enfants, effaçant des vies à jamais. L’entité sioniste poursuit son massacre au Liban, laissant derrière elle une traînée de désolation

Le 29 septembre 2024, Julia Ramadan, 28 ans, a été tuée lors d’un raid israélien à Sidon, au Liban. L’attaque, qui a également coûté la vie à sa mère, a frappé un immeuble résidentiel où elle vivait. Comme tant d’autres civils, Julia a été arrachée à la vie par les frappes aériennes de l’entité sioniste. Ces attaques montrent une fois de plus un mépris total pour la vie humaine. Israël frappe sans distinction, ciblant délibérément des civils. Des familles entières sont anéanties, effacées à jamais.

 

 

L’entité sioniste frappe sans pitié : Des victimes innocentes sous les décombres

Julia Ramadan était une jeune femme de 28 ans, au parcours académique remarquable. Elle avait obtenu un Bachelor of Arts in Communication Arts – Public Relations à la Lebanese International University. En plus, elle avait décroché un diplôme en Professional Digital Marketing au Succeed&Achieve Learning Center (SALC). Passionnée par la psychologie, elle poursuivait aussi des études dans ce domaine à la Lebanese University – Faculty of Arts and Humanities. Avant tout cela, elle avait étudié à la Saida Technical School.

Julia, résidente de Beyrouth, s’était engagée dans une mission humanitaire pour venir en aide aux déplacés du sud du Liban. Elle a perdu la vie en aidant les plus vulnérables, tuée aux côtés de sa mère lors d’une attaque qui visait des civils innocents. Son ami, sur la plateforme X, a décrit avec douleur ses derniers moments sous les décombres avant que son corps ne soit retrouvé :

« Jusqu’à présent, mon amie Julia Ramadan est toujours sous les décombres du bâtiment détruit par l’ennemi à Sidon, alors que les équipes de secours s’efforcent de retirer les décombres avec beaucoup de prudence, tandis que sa mère a rejoint les rangs des justes. martyrs, dont le nombre dépassait 40. »

 

 

Les derniers mots de Julia, retrouvés sur son profil Facebook, reflètent toute la générosité de cette jeune femme :

« Salut les gens de charité, il y a une famille avec 18 personnes qui ont besoin d’aide, ils n’ont rien. Est-il possible que nous puissions espérer quelque chose ? »

Ce raid meurtrier a fait au total 32 morts et 53 blessés, la majorité des victimes étant des innocents sans défense, des enfants, des femmes et des personnes âgées, fuyant déjà les horreurs de la guerre. Des familles entières ont été effacées, rayées des registres, leurs noms et leurs visages désormais perdus à jamais. Derrière chaque chiffre se cache une histoire, des vies brutalement interrompues, des espoirs réduits en poussière par les bombes.


Un massacre en série : Des familles décimées, des enfants sacrifiés

Selon l’Agence Anadolu, depuis le 23 septembre, Israël mène sa campagne la plus brutale contre le Liban, frappant sans relâche des zones civiles, des quartiers résidentiels, des hôpitaux, des écoles. Le bilan est effroyable : plus de 962 morts, dont un nombre alarmant d’enfants et de femmes. Les corps de ces innocents jonchent les décombres, ensevelis sous des tonnes de gravats, témoins silencieux d’une extermination systématique.

Les enfants, ces victimes innocentes, paient le prix fort de cette guerre implacable. À chaque nouvelle frappe, les sirènes résonnent, marquant le début d’un nouveau carnage. Les bombes israéliennes n’épargnent personne, et les familles sont arrachées à la vie, laissant derrière elles des registres vides et des souvenirs déchirés. Ces enfants, ces familles, avaient des noms, des visages, des rêves. Aujourd’hui, ils sont réduits au silence, massivement tués par des frappes aveugles.


Une extermination programmée : L’entité sioniste raye des vies et des histoires

Les raids israéliens ne cessent d’effacer des familles entières. Les secouristes peinent à retrouver les corps sous les décombres. Les victimes innocentes de ces attaques systématiques s’accumulent. L’entité sioniste cible délibérément des infrastructures civiles, détruisant des écoles, des hôpitaux, des foyers. Le nom de Julia Ramadan vient s’ajouter à la longue liste de ces innocents sacrifiés.


Les appels à la fin du massacre ignorés : Israël continue de semer la terreur

Malgré les appels à l’arrêt des hostilités, Israël continue son offensive destructrice avec le soutien des États-Unis. À Gaza, les frappes ont fait plus de 137 000 morts et blessés, principalement des femmes et des enfants. Chaque jour, de nouvelles victimes s’ajoutent à cette tragédie humaine. Les familles sont anéanties dans l’indifférence internationale. L’entité sioniste poursuit ses attaques, ignorant les condamnations.


L’impératif de mettre fin à l’extermination

L’histoire de Julia Ramadan ne doit pas être oubliée. Il est urgent de dénoncer les crimes de l’entité sioniste et de rendre justice aux victimes. Les enfants et les familles innocentes qui ont été décimés méritent que leurs noms et leurs visages soient honorés. Il est temps d’exiger des comptes pour cette extermination programmée et de mettre fin à cette violence aveugle.

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