Publié par Manuel Gomez le 6 juillet 2024
A présent, vous ne pourrez pas dire que vous n’en avez pas été informé. C’est bien réel, cela existe, et cela se déroule chaque nuit, dès que les lumières des villes s’éteignent et que vous dormez en paix : c’est alors que les groupuscules d’extrême droite, ces hordes de sauvages fascistes, descendent dans les rues des quartiers de la capitale et des grandes villes, armés de barres de fer et de battes de base-ball pour se livrer à des « ratonnades », attaquer, agresser, ces malheureux « mineurs isolés » clandestins et illégaux qui reposent tranquillement après avoir vaqué à leurs occupations toute la journée.
Moi aussi je l’ignorai, mais cela doit être vrai puisque c’est Marine Tondelier, la « patronne » des écologistes verts, qui l’a affirmé sur BFM/TV. Avant de préciser, devant Laurence Ferrari sur CNews, toujours ce dernier jeudi « Que les submersions migratoires, les vagues migratoires, ça n’existait pas ».
Marine Tondelier, la nouvelle icône du Nouveau Front Populaire et de l’ensemble des médias de gauche. Probablement que le soir elle se promène dans les rues désertes pour en témoigner directement et accuser ces groupes d’extrême-droite bien plus violents que ses partisans des « Soulèvements de la Terre ».
Bien entendu, les pauvres victimes, les mineurs isolés, sont pris en charge dans tous les hôpitaux de la capitale et des villes de province, mais « chut » interdit d’en parler, n’est-ce-pas !
Cela me fait penser au 17 octobre 1961 et aux 300 corps des militants du FLN massacrés par les forces de l’ordre et « jetés » dans la Seine, dont on n’a jamais retrouvé le moindre cadavre. Cela fait plus de soixante ans que je réclame les noms de ces 300 « soi-disant » victimes.
Bravo, Marine Tondelier, vous avez laissé la « Rousseau » loin derrière vous dans les absurdités, notamment au sujet de ce « Rap » abject, dégueulasse, dont je m’interdis même de reproduire le moindre texte. Mais il est vrai que « vous n’en avez jamais entendu parler », vous qui savez tout ou presque, mais estimez que « les codes du rap sont comme çà, violents avec les femmes ».
C’est bizarre, mais je n’ai jamais entendu un rap violent avec les femmes de gauche et d’extrême gauche, et pourtant « il y aurait beaucoup à chanter ».
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.
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