"21 302 décès consécutifs à la vaccination dans l'Union européenne"
Quand le peuple s'éveillera, le pouvoir tremblera.
On peut, un temps, utiliser les vieilles ficelles de la propagande
et de la désinformation, en jetant l'opprobre sur toutes celles et tous
ceux qui entendent conserver leur libre arbitre, contre vents et marées.
Mais on ne peut pas, éternellement, mettre la poussière sous le tapis
et dissimuler la réalité. Ce n'est pas possible, surtout à l'ère
d'Internet, où l'information circule à la vitesse de la lumière.
Le spectacle pitoyable qu'a offert M. Véran ces jours derniers,
annonçant que les soignants "n'auront plus le loisir de faire grève,
puisque par définition cette obligation sanitaire (de vaccination)
s'appliquera", est hélas ! au niveau des propos tenus par le président de la République. En
d'autres temps, le "Sortez d'ici" proféré par M. Véran à l'encontre
d'un député dans l'hémicycle du Palais Bourbon nous aurait sûrement
valu, aujourd'hui, la présence d'un autre ministre de la Santé. Mais
l'homme est rattrapé par son passé. Quel crédit accorder à l'ancien
leader syndical - c'était, du reste, bien son droit, et il en faut -
quand il apparaît maintenant en briseur de grève ? Foin des convictions !
Pourvu que l'on fasse carrière, s'il le faut en mangeant son chapeau. À
coup sûr, l'homme mérite des vacances, et de grandes vacances ...
Que le pouvoir ne soit pas à la hauteur, les Français le savaient.
Mais de là à transformer le pays en un gigantesque vaccinodrome tous
temps et tous terrains, de là à interdire de travailler à quiconque
n'obtempère pas à l'ordre vaccinal (sans la moindre allocation, quand on
payait largement les gens à rester chez eux au printemps 2020), de là à
délimiter les espaces de liberté et les espaces où il faut montrer
patte blanche, il y a un pas que nul n'aurait franchi voici 18 ou 20
mois. Il est sûr que nos gouvernants ont perdu le sens de la mesure, et
il est clair qu'il leur importe peu que le virus mute et que le vaccin
n'ait qu'un effet très relatif sur la pandémie. Les vaccins sont
achetés, il ne faut pas en perdre. Et tant pis s'il y a des morts ou des
blessés. Après tout, "nous sommes en guerre", n'est-ce pas ? Et la
guerre, ce sont des morts et des blessés.
Mais voilà ! Le collectif "Covid 19 - Laissons les médecins
prescrire" vient de rendre public, ces jours derniers, un nombre de
morts, un chiffre qui fait froid dans le dos : 21 302 décès consécutifs à
la vaccination dans l'Union européenne.
Alors que du fait de "la haute
capacité de mutation du virus", "l'espoir d'une immunité collective par
une augmentation du nombre de vaccinés est totalement vain", dixit le
professeur Montagnier, tout de même prix Nobel de médecine. Et alors,
aussi, que la mortalité de la maladie (au-dessous de 1 % de la
population) ne mérite certainement pas de terroriser les peuples, comme
cela a été fait de manière vraiment irresponsable.
Le 11 juin dernier, le professeur Mc Cullough disait : "Il y a en
ce moment, aux Etats-Unis, plus de décès et de blessures causées par le
vaccin que d'hospitalisations et de décès liés aux maladies
respiratoires". C'est le même professeur américain qui déclarait, au
moment où le nombre de décès consécutifs aux vaccins s'établissait à 9
000, que l'on avait eu, en quelques mois, "davantage de décès liés aux
vaccins Covid qu'en 30 ans de vaccination". C'est lui qui soulignait
enfin que, d'ordinaire, à 20 - 25 décès liés à une vaccination, on
stoppait les injections sur l'être humain. Des propos de cette nature
devraient faire réfléchir nos dirigeants. Eh bien ! non, il n'en est
rien. Nous continuons à administrer ce produit, et nous augmentons même
la cadence, "quoi qu'il en coûte" sans doute ...
Ce chiffre de 21 302 morts -qui n'est sûrement pas surévalué, c'est
probablement l'inverse qui est vrai ! - mérite non seulement d'être mis
sous les projecteurs, mais aussi d'être comparé aux statistiques de la
mortalité liée au coronavirus dans les pays qui n'ont pas pris le risque
insensé de concentrer leur politique sanitaire sur une injection qui
n'a de vaccin que le nom, puisqu'elle n'empêche ni d'attraper la
maladie, ni de la transmettre. Souvenons-nous ! La direction des
affaires juridiques du ministère de la Santé -et M. Véran doit, sans
aucun doute, beaucoup le regretter ! - n'écrivait pas autre chose dans son mémoire au Conseil d'Etat du 28 mars 2021.
On a coutume de dire que comparaison n'est pas raison. Certes. Il
n'empêche ! 21 302 morts du vaccin dans une Union européenne de 447
millions d'habitants, c'est quasiment 5 fois les 4 440 morts du virus
dans cinq Etats asiatiques totalisant 192 millions d'habitants : Corée
du Sud, Singapour, Taïwan, Hong Kong et Vietnam. Le rapprochement des
chiffres interpelle et choque...
Il est urgent que les dirigeants de la vieille Europe, et donc de
la France, prennent conscience de cette tragédie et mettent un terme à
leur fuite en avant totalement déraisonnable. Je n'ose imaginer le
réveil des peuples si des enfants, dont le tour arrive, viennent à
perdre la vie sur l'autel de la vaccination.
Auteur(s): Alain Tranchant, pour FranceSoir
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