Le 20 août, l'Assemblée de Polynésie française a voté — par 48 voix sur 57 — l'obligation vaccinale de « certaines catégories de personnes ». C'est un premier pas vers l'obligation intégrale pour tout le monde, enfants compris.
« Sont concernés les professionnels en contact direct avec les personnes les plus vulnérables dans l’exercice de leur activité professionnelle, les personnes âgées de plus de seize ans atteintes de certaines affections, les personnes dont les activités professionnelles sont essentielles au fonctionnement de la Polynésie française, nécessaires au maintien de la sécurité ou de l’ordre public sur le territoire ou dont l’exercice professionnel ne permet pas le respect des gestes barrières. »
Un rassemblement de la population a eu lieu devant les locaux de l’Assemblée car le vote a eu lieu sans public. En toute démocratie…
Le peuple, les femmes du Collectif des femmes de Polynésie, ne veulent pas de cette obligation car :
- Les vaccins sont expérimentaux (« nous ne sommes pas des rats de laboratoire »)
- L’ivermectine, hydroxychloroquine sont efficaces et interdites
- Zinc, vitamine D, bonne alimentation éviteraient des décès
- Les urgences sont débordées à cause de l’interdiction de soigner. Les morts en sont les conséquences. On pourrait penser que cette situation est volontaire…
- La décision de vacciner est une décision politique et non médicale
- L’Assemblée n’a demandé l’avis de personne.
La mort est déjà venue de métropole
Entre 1966 et 1996, la France a réalisé 193 essais nucléaires en Polynésie française, d’où une augmentation de la mortalité par cancer. « C’est tout à fait vrai que l’on n’aurait pas fait ces essais dans la Creuse ou en Bretagne », a reconnu le président avant de s’envoler pour Paris.
Le virus, c’est Macron
Macron est venu avec 160 personnes le 25 juillet et depuis cette date, les îles Marquises et Tahiti sont contaminées (voir graphique). Il y a, depuis la venue de Macron, beaucoup de Covid à Tahiti, les malades attendent dans les jardins de l’hôpital…
Non content d’avoir contaminé un territoire, ayant jugé que 29 % de vaccinés, ce n’était pas suffisant, le gouvernement a puni les Polynésiens : confinement total toute la semaine, couvre-feu à 20 heures au lieu de 21 heures (pas de plats à emporter après 20 heures), interdiction de se déplacer sauf
- pour travailler, se former,
- se faire vacciner ou soigner,
- récupérer un enfant,
- faire des achats de première nécessité (aliments, médicaments, fournitures nécessaires à l’activité professionnelle),
- assister une personne vulnérable, assurer une garde d’enfants.
Tout voyage d’agrément est interdit. Les commerces de biens non essentiels, les activités de loisir, les restaurants et les bars devront cesser provisoirement leur activité. Les touristes devront rester dans leurs hôtels, seront soumis au confinement et ne pourront pas sortir. Les croisières devront être suspendues, mais les passagers pourront rester logés dans leur cabine s’ils le souhaitent.
Certaines îles seront épargnées : les Tuamotu-Gambier ne seront confinées que le week-end, les Australes et les Marquises ne sont pas concernées (la population des Marquises est vaccinée à 81,22 %).
Les magasins sont vides, plus de riz et plus de sucre. Rien ne vient de métropole, tout vient de Nouvelle-Zélande et ce pays a bloqué tous les containers pour vendre 50 % plus cher ailleurs… Quel est le but de cette stratégie politique ?
Jacqueline pour lemediaen4-4-2
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