4 juillet 2021
Le 6 mars dernier, Claude Lannes et sa femme Marie-France, habitant Saverdun dans l’Ariège, tous deux âgés de 70 ans, se rendent dans un cabinet médical pour recevoir leur première injection du vaccin AstraZeneca.
Quinze jours après la première injection, le 21 mars, Marie-France ressent des symptômes inhabituels : « Elle avait un mal de tête très violent. La douleur ne passait pas. » Le lendemain, le couple se rend chez leur médecin généraliste : « Il lui a demandé de faire un bilan sanguin. Après les résultats, elle a dû être hospitalisée d’urgence. » En attendant les secours, Marie-France fait un AVC, et est transportée d’urgence à l’hôpital Purpan à Toulouse. Dans la nuit, la mauvaise nouvelle tombe : « le neurochirurgien qui s’occupait de ma femme m’a annoncé que son état était critique. Is ont essayé plusieurs opérations, sans succès, elle est décédée le 25 mars d’une thrombose cérébrale. »
Le 3 mai, Claude Lannes reçoit les résultats : « L’autopsie a confirmé que ma femme était décédée d’une thrombose cérébrale causée par le vaccin AstraZeneca. »
Le 17 juin, Claude Lannes et son fils Christophe ont déposé plainte contre X à la gendarmerie de Saverdun. Le procureur de la République n’a pas encore qualifié la plainte.
C’est l’État qui paie les vies casséesLe site Vaccination info service note :
– les personnes vaccinées pourront voir réparés leurs dommages par la solidarité nationale sans avoir à prouver de faute ou de défaut du produit,
– les professionnels de santé qui vaccineront ne verront pas leur responsabilité recherchée, sauf faute caractérisée.
« En conséquence, la réparation intégrale des accidents médicaux imputables à des activités de soins réalisées au titre de la campagne sera prise en charge par la solidarité nationale à travers l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux (ONIAM).
La responsabilité des médecins ne pourra pas être engagée au motif qu’ils auront délivré une information insuffisante aux patients sur les effets indésirables méconnus à la date de vaccination. En outre, pour qualifier une éventuelle faute caractérisée, le juge tiendrait compte de l’urgence qui préside au déploiement des vaccins ainsi que les circonstances. »
L’Union européenne s’appuie sur une directive de 1985 selon laquelle les laboratoires sont responsables en cas de défauts ou négligences liés à leur produit, à moins qu’ils ne prouvent « que l’état des connaissances scientifiques et techniques (…) n’a pas permis de déceler l’existence du défaut ». Les laboratoires expérimentent, donc en l’état des recherches actuelles, s’il y a des morts, c’est pas de leur faute.
C’est Le Monde, journal financé par Bill Gates, qui le dit !
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