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lundi 26 juillet 2021

Des jeunes enfermés : Images du premier camp covid en France

 

 

 26 juillet 2021 |

Voici un court documentaire venant du site La Minute de Ricardo, de l’ancien présentateur sur France Tv et TV5 Monde, Richard Boutry. Accrochez-vous, car ce que vous allez découvrir est effrayant.

Des parents ont fait part de leur inquiétude à Richard Boutry. 

Il est allé à proximité du premier camp covid où sont enfermés leurs enfants de 20 à 25 ans : le lycée agricole Hector Serres, 2915 Route Des Barthes, 40180 Oeyreluy. Un établissement présenté par Sud-Ouest comme offrant de « multiples possibilités »… Hector Serres, issu d’une famille dacquoise de pharmaciens, pharmacien lui-même, aurait-il été surpris d’être le prête-nom d’une prison ? C’était un pharmacien, certes, mais cet amoureux de la forêt landaise et des eaux thermales était fort loin de l’univers carcéral de Big Pharma.

Ces jeunes sont des travailleurs saisonniers dans les campings — nous n’en savons pas plus. Peut-être venaient-ils d’un camping des Landes comme celui des Prés Verts. A partir du 20 juillet, voilà la réception des vacanciers non munis de passe sanitaire :

« Vous avez le droit de séjourner sur notre terrain en emplacement traditionnel ou en location. Cependant, les personnes majeures n’auront pas le droit d’accéder à l’espace aquatique, à l’aire de jeux, aux activités collectives, au restaurant. Ainsi, nous proposons le port d’un bracelet pour identifier les clients à jour de leur pass sanitaire (majeur et mineurs pour identifier les clients ayant validé leur séjour). »

 

 

Les jeunes du camp d’isolement ont interdiction de sortir, une zone de délimitation est visible aux abords de la structure réquisitionnée par la préfecture. Cette dernière décide de la marche à suivre. La Croix-Rouge gère la structure où sont détenus les jeunes mis en quarantaine pour cas contacts ou covid. Interdiction formelle de voir leurs familles ou amis. Richard Boutry questionne une personne de la Croix-Rouge afin de connaître la durée d’enfermement :

« Est-ce qu’il y a des jeunes qui sont là depuis longtemps ? »


La réponse fait froid dans le dos : « Tout dépend. Si la personne arrive comme “cas contact” et qu’au bout d’une semaine, elle est positive au covid, elle en prend pour dix jours de plus. »


Les termes employés — « Elle en prend pour dix jours de plus » — font évidemment référence à des détenus dans une prison et sont prononcés le plus naturellement du monde.

La Croix-Rouge est chargée d’écouler le stock de lots de thérapies génétiques ARNm. On vous en parle . Il est logique qu’elle essaie de convaincre les jeunes, car ils rechignent à se faire vacciner contre une maladie qu’ils n’auront pas. Argument massue : les clusters ! C’est  la préfète des Landes qui nous annonce  « Une vingtaine de clusters en cours ». Elle oublie d’ajouter d’autres chiffres (officiels) :

– décès en 24 heures : 0
– réanimations en 24 heures : 0

– nouvelles hospitalisations : 0
– taux d’occupation des lits de réanimation : 11,2 %

Ce documentaire fait froid dans le dos… et l’on comprend la révolte des familles qui ont contacté Richard Boutry pour avoir plus d’explications. 

– Qu’est-ce que le covid + ? 

– Pourquoi la Croix-Rouge est-elle mêlée à ce genre de choses ? 

– Pourquoi les parents ont-ils interdiction de voir leurs enfants ? 

– Pourquoi la préfecture organise-t-elle tout ceci ?

Des questions qui ne manqueront pas de trouver des réponses.

Jacqueline et Marcel pour lemediaen4.4.2

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