Surnommé le « ministre des travailleurs », le nom d'Ambroise Croizat reste attaché aux grandes lois relatives au régime général de la Sécurité sociale : mise en place de celui-ci (dans une logique communiste, contre le système capitaliste de sécurité sociale mis en place tout au long du XIXe siècle[14],[15]), organisation administrative des caisses et des élections aux conseils d'administration des caisses et régimes des fonctionnaires.
Son influence s'exerce aussi sur les projets concernant les comités d'entreprise, le statut des délégués du personnel, les conventions collectives, la prévention et la réparation des accidents du travail, le régime des prestations familiales.
« Jamais nous ne tolérerons que ne soit renié un seul des avantages de la sécurité sociale. Nous défendrons à en mourir et avec la dernière énergie, cette loi humaine et de progrès… »
— Dernier discours d’Ambroise Croizat à la tribune de l’Assemblée nationale, en octobre 1950[16].
wikipedia
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