J’ai regardé les vidéos et les photos de la pseudo manif des foulards rouges, entendu des micros trottoirs, constaté la haine hystérique de certains et l’incroyable mépris social qui émanait de ce petit cortège.
Petit mais représentatif de ceux qui peuplent aujourd’hui Paris maintenant que les couches populaires en ont été chassées.
Tout d’un coup, une drôle de pensée m’a traversé l’esprit.…
Paris est devenue sale, laide, couverte de chantier jamais finis, l’objet des délires d’une équipe municipale d’incompétents et de sectaires.
La capitale de tous les Français a été confisquée au profit d’une caste qui a voté à 95 % pour Macron lors de l’élection présidentielle truquée de mai 2017.
Toutes les manifestations de ces gilets jaunes qui venaient de province de banlieues se sont déroulées dans une ville hostile.
La surface est réservée aux bobos, qui circulent en vélo et en trottinette électrique.
Leurs domestiques, les pauvres, sont priés de circuler sous terre.
S’y promener est devenu désagréable entre boutiques de luxe, restaurants Vegans et boulangerie gluten free.
Tout d’un coup, donc une drôle de pensée m’a traversé l’esprit.
Le 17 avril 1975 les Khmers rouges avaient conquis Phnom-Penh.
J’étais très méfiant vis-à-vis de ce mouvement bizarre et l’avenir me donnera raison.
En particulier deux jours après la conquête ils avaient fait partir tous les habitants et vidé la ville. Complètement.
Décision perçue comme folle et terrifiante, même à ce moment-là alors que le pire était encore à venir.
Et tout d’un coup, je me suis surpris à me dire au spectacle de cette foule corrompue et haineuse de « foulards rouges » traversant cette ville confisquée par les riches, exhalant sa peur et son mépris du peuple qu’après tout… que peut-être… qu’après la Libération… on pourrait imaginer…
Et puis je me suis repris, c’était une mauvaise pensée.
C’est très mal.
Il ne fallait surtout pas faire ça, vider Paris d’un seul coup de tous ces bourgeois apeurés et ses bobos arrogants, c’était une mauvaise idée.
Même pas pour le Marais le 8e et le 16e.
Parce que ce serait mettre le doigt dans un engrenage mortifère.
Juste un peu de rééducation en Camargue pour les pires, ce sera suffisant.
Chassons donc les mauvaises pensées… même si des fois... elles reviennent à la charge.
Vade retro…
Le 17 avril 1975 les Khmers rouges avaient conquis Phnom-Penh.
J’étais très méfiant vis-à-vis de ce mouvement bizarre et l’avenir me donnera raison.
En particulier deux jours après la conquête ils avaient fait partir tous les habitants et vidé la ville. Complètement.
Décision perçue comme folle et terrifiante, même à ce moment-là alors que le pire était encore à venir.
Et tout d’un coup, je me suis surpris à me dire au spectacle de cette foule corrompue et haineuse de « foulards rouges » traversant cette ville confisquée par les riches, exhalant sa peur et son mépris du peuple qu’après tout… que peut-être… qu’après la Libération… on pourrait imaginer…
Et puis je me suis repris, c’était une mauvaise pensée.
C’est très mal.
Il ne fallait surtout pas faire ça, vider Paris d’un seul coup de tous ces bourgeois apeurés et ses bobos arrogants, c’était une mauvaise idée.
Même pas pour le Marais le 8e et le 16e.
Parce que ce serait mettre le doigt dans un engrenage mortifère.
Juste un peu de rééducation en Camargue pour les pires, ce sera suffisant.
Chassons donc les mauvaises pensées… même si des fois... elles reviennent à la charge.
Vade retro…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.