François Hollande a encore l'air malin, après s'être rendu au chevet du délinquant Théo, au mépris de la police nationale.
Les premières conclusions de l'enquête de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) ne retiennent pas la thèse du viol.
L'IGPN privilégie la thèse de l'accident, de "l'opération qui tourne mal", faisant valoir que le jeune homme de 22 ans a fait preuve de résistance face aux agents qui tentaient de le menotter.
D'après les images de vidéosurveillance, aucun policier n'aurait baissé le pantalon de Théo pour lui introduire sa matraque.
La thèse du "viol délibéré" est écartée faute de preuve d'une intention de violer.
L'IGPN reconnaît toutefois un "accident grave et réel".
Posté le 9 février 2017 à 09h26 | Lien permanent
L'IGPN est bien avare en explication quant à la raison de la perte du pantalon du jeune homme. Quand bien même ce ne serait pas délibéré, ça veut dire que l'agent en question a du faire preuve d'une extrême violence dans son coup de matraque avec l’embout pour qu'il en arrive "par accident" à pénétrer par l'anus de la victime.
RépondreSupprimerQuand bien même la victime aurait résister, il serait utile de rappeler à ces agent pourquoi cette "haine antiflic" existe et s'aggrave de jour en jour. Il est nécessaire qu'il remettent en cause leur métier d'utilité public qui n'est plus la protection du citoyen mais la protection du pouvoir établi et uniquement ce but. Tant que ça durera, il y aura toujours de plus en plus de mépris et de méfiance des représentants de la loi.
Pour ma part, moi qui ne pense pas avoir quoi que ce soit à me repprocher, je suis plus anxieux quand je croise une patrouille de police que quand je croise une groupe de jeunes "louches" (en tout cas comme voudrait les médias que nous les percevions).
ah bon ? Et bien moi je serais plus rassurée devant une patrouille de police que de la racaille que l'on a en France .... Sans commentaires, j'imagine de que bord vous êtes.
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