Le 20/05/2016
Published On: Fri, May 20th, 2016
By La Rédaction
Breizatao – POLITIKEREZH (20/05/2016)Les factieux d’extrême-gauche de la ville de Brest ont pris pour cible différents bâtiments de la police de la ville.
C’est la même nébuleuse qui agite les migrants clandestins régulièrement (voir ici) et qui avait pris la défense de l’imam salafiste Rachid Abou Houdeyfa (lire ici).
Le Télégramme rapporte (lire ici) :
Le commissariat central de Brest, mais aussi les deux bureaux de police de Saint-Martin et Recouvrance ont été pris pour cible dans la nuit de jeudi à vendredi, par une trentaine de personnes encagoulées et scandant sa “haine des flics”.Un groupe d’une trentaine d’individus encagoulés a débarqué à 20h30, devant le commissariat central, rue Colbert.
D’autres banderoles du même type ont ensuite été posées devant la sous-préfecture, puis devant le tribunal de grande instance, avant de rejoindre la faculté de lettres.Alors que le calme semblait revenu, c’est beaucoup plus tard dans la nuit, vers 1h, qu’ils sont réapparus devant le bureau de police de Saint-Martin. Là, ils ont inscrits des tags et brisé deux vitres du rez-de-chaussée. Puis, à 2h30, les mêmes tags ont été retrouvés sur le bureau de police de Recouvrance.
“Une réponse à notre mobilisation de mercredi”Pour Stéphane Andry, du syndicat de police Alliance, “ces actes d’anarchistes sont clairement une réponse à notre mobilisation de mercredi”. Ce jour-là, les policiers avaient dénoncé “la haine des flics”.
Les groupuscules anarcho-communistes bénéficient d’une impunité de fait à Brest grâce à la bienveillance du maire socialiste, François Cuillandre.
Lors de l’interruption d’un conseil municipal il y a quelques mois par l’extrême-gauche, l’édile avait refusé de procéder à l’évacuation des factieux accompagnés de clandestins musulmans, ceci alors qu’il était pourtant l’objet de menaces physiques (lire ici).
Lors de l’interruption d’un conseil municipal il y a quelques mois par l’extrême-gauche, l’édile avait refusé de procéder à l’évacuation des factieux accompagnés de clandestins musulmans, ceci alors qu’il était pourtant l’objet de menaces physiques (lire ici).
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