Le 28/05/2016
Archives. L’altercation s’est déroulée sur la place du Damier à Grigny. Un site actuellement en travaux. (LP/F.G.)
Florian Garcia (avec F.L.) | | MAJ :
Toutes les brigades anticriminalités du département ont été mobilisées. Il était aux alentours de 23 heures, ce vendredi à Grigny, lorsque de violents affrontements ont opposé les forces de l’ordre à une centaine d’assaillants après le concert du rappeur Kaaris au centre culturel Sidney-Bechet.
Deux policiers ont été légèrement blessés dans cette altercation qui s’est déroulée, place du Damier, dans le quartier de la Grande-Borne.
Une des voitures de la police a été dégradée lors de l’intervention. (DR)
« Il s’agissait aux départ de personnes qui escaladaient les palissades du chantier de la place du Damier », témoigne une source policière.
Sur place, la patrouille est immédiatement prise à partie par une trentaine de personnes armées de pierres, de bouteilles et de barres en fer.
En sous nombre, les policiers rebroussent chemin et appelent du renfort.
« En plus des effectifs du commissariat de Juvisy-sur-Orge, toutes les brigades anticriminalités du département ont été réquisitionnées, ajoute cette même source.
Nous avons également fait appel aux patrouilles vigipirates, aux effectifs départementaux et au service d’ordre public (SOP) ».
A l’image des policiers, les rangs des assaillants se renforcent également.
« Ces voyous, extrêmement violents et décidés à en découdre avec nos collègues, ont été rejoints par 70 autres individus, martelle le syndicat Alliance.
La haine anti-flic n’est pas exclusive aux casseurs des manifestations mais est le lot quotidien de nos collègues en Ile-de-France ».
Pour le syndicat Unité SGP Police, il s’agit d’une scène de « guérilla urbaine » : « La nécessité de renforcer en effectif le département de l’Essonne est urgente.
La justice doit également être intransigeante vis à vis des auteurs de violences contre les policiers ».
Au lendemain des faits, ce samedi, seule une personne avait été interpellée.
source
Une des voitures de la police a été dégradée lors de l’intervention. (DR)
« Il s’agissait aux départ de personnes qui escaladaient les palissades du chantier de la place du Damier », témoigne une source policière.
Sur place, la patrouille est immédiatement prise à partie par une trentaine de personnes armées de pierres, de bouteilles et de barres en fer.
En sous nombre, les policiers rebroussent chemin et appelent du renfort.
« En plus des effectifs du commissariat de Juvisy-sur-Orge, toutes les brigades anticriminalités du département ont été réquisitionnées, ajoute cette même source.
Nous avons également fait appel aux patrouilles vigipirates, aux effectifs départementaux et au service d’ordre public (SOP) ».
A l’image des policiers, les rangs des assaillants se renforcent également.
« Ces voyous, extrêmement violents et décidés à en découdre avec nos collègues, ont été rejoints par 70 autres individus, martelle le syndicat Alliance.
La haine anti-flic n’est pas exclusive aux casseurs des manifestations mais est le lot quotidien de nos collègues en Ile-de-France ».
Pour le syndicat Unité SGP Police, il s’agit d’une scène de « guérilla urbaine » : « La nécessité de renforcer en effectif le département de l’Essonne est urgente.
La justice doit également être intransigeante vis à vis des auteurs de violences contre les policiers ».
Au lendemain des faits, ce samedi, seule une personne avait été interpellée.
source
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.