Le 18/06/2015
Les coutumes et les us d’une fraction de la population née en France, et qui est française, semblent désormais complètement étrangères à nombre de leurs compatriotes. Cela génère, en retour, un rejet croissant.
Samedi dernier, une jeune femme a perdu la vie à Marly, à côté de Valenciennes.
Elle était venue assister au mariage de son cousin.
Un abruti (comment le qualifier autrement ?) a tiré en l’air avec un fusil à pompe et un projectile a touché la malheureuse à la tête.
On a retrouvé quantité d’impacts de balles contre les façades des maisons jouxtant la mairie.
Le « baroud » lors des mariages fait partie du folklore en Afrique du Nord mais, là-bas, on utilise des pétoires inoffensives.
Personne ne risque rien !
En France, la coutume veut désormais qu’on tire à l’arme de guerre (pour impressionner les filles ?)… Déjà, l’an dernier, un marié avait été blessé par son futur beau-père.
Tôt ou tard, le drame devait se produire…
À Tourcoing, on ne célèbre plus les mariages le samedi, jour pourtant pratique pour ce type de cérémonie.
Les rodéos étaient devenus incontrôlables.
Passagers dangereusement penchés aux fenêtres des voitures, feux rouges et stop joyeusement grillés avec trois voitures de front transformaient le centre-ville en cauchemar.
Au-delà du drame épouvantable qui a meurtri une famille, ces problèmes ne sont pas anecdotiques. Ils montrent combien l’intégration ne se fait pas ou, plutôt, ne se fait plus.
À la fin des années 90, on pensait que les Maghrébins allaient suivre le chemin tracé par les Italiens et les Polonais, ô combien vilipendés juste après la Seconde Guerre mondiale.
Les mariages mixtes fonctionnaient harmonieusement.
Personne n’imposait ses croyances à son conjoint.
En fait, on se moquait complètement de la religion de l’autre.
Quelque chose s’est cassé vers les années 2000.
La réislamisation est une vague de fond qui a submergé le monde entier.
Il y a 40 ans, la mode dans les pays musulmans était à l’occidentalisation des mœurs : le voile régressait, les codes alimentaires étaient mis un peu de côté. On rêvait de voitures, de vacances, de société de consommation.
L’Iran a été le premier à succomber au tsunami islamique.
Tous les autres pays ont été, l’un après l’autre, touchés par le retour en force de la religion et de ses interdits.
Et notre tour est désormais venu…
Les coutumes et les us d’une fraction de la population née en France, et qui est française, semblent désormais complètement étrangères à nombre de leurs compatriotes.
Cela génère, en retour, un rejet croissant, que l’on peut certes déplorer mais qui existe !
On nous saoule en nous répétant sans fin « cultivons le vivre ensemble ».
Pourquoi pas ?
Mais ces mots auraient bien plus de force si la ligne jaune n’était pas continuellement dépassée !
Elle était venue assister au mariage de son cousin.
Un abruti (comment le qualifier autrement ?) a tiré en l’air avec un fusil à pompe et un projectile a touché la malheureuse à la tête.
On a retrouvé quantité d’impacts de balles contre les façades des maisons jouxtant la mairie.
Le « baroud » lors des mariages fait partie du folklore en Afrique du Nord mais, là-bas, on utilise des pétoires inoffensives.
Personne ne risque rien !
En France, la coutume veut désormais qu’on tire à l’arme de guerre (pour impressionner les filles ?)… Déjà, l’an dernier, un marié avait été blessé par son futur beau-père.
Tôt ou tard, le drame devait se produire…
À Tourcoing, on ne célèbre plus les mariages le samedi, jour pourtant pratique pour ce type de cérémonie.
Les rodéos étaient devenus incontrôlables.
Passagers dangereusement penchés aux fenêtres des voitures, feux rouges et stop joyeusement grillés avec trois voitures de front transformaient le centre-ville en cauchemar.
Au-delà du drame épouvantable qui a meurtri une famille, ces problèmes ne sont pas anecdotiques. Ils montrent combien l’intégration ne se fait pas ou, plutôt, ne se fait plus.
À la fin des années 90, on pensait que les Maghrébins allaient suivre le chemin tracé par les Italiens et les Polonais, ô combien vilipendés juste après la Seconde Guerre mondiale.
Les mariages mixtes fonctionnaient harmonieusement.
Personne n’imposait ses croyances à son conjoint.
En fait, on se moquait complètement de la religion de l’autre.
Quelque chose s’est cassé vers les années 2000.
La réislamisation est une vague de fond qui a submergé le monde entier.
Il y a 40 ans, la mode dans les pays musulmans était à l’occidentalisation des mœurs : le voile régressait, les codes alimentaires étaient mis un peu de côté. On rêvait de voitures, de vacances, de société de consommation.
L’Iran a été le premier à succomber au tsunami islamique.
Tous les autres pays ont été, l’un après l’autre, touchés par le retour en force de la religion et de ses interdits.
Et notre tour est désormais venu…
Les coutumes et les us d’une fraction de la population née en France, et qui est française, semblent désormais complètement étrangères à nombre de leurs compatriotes.
Cela génère, en retour, un rejet croissant, que l’on peut certes déplorer mais qui existe !
On nous saoule en nous répétant sans fin « cultivons le vivre ensemble ».
Pourquoi pas ?
Mais ces mots auraient bien plus de force si la ligne jaune n’était pas continuellement dépassée !
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