Le 23/03/2015
Philippe de Larminat démontre que le réchauffement est très directement lié (corrélé) à l'activité solaire, alors que le GIEC n'attribuait à celle-ci qu'un rôle marginal ou nul dans le réchauffement.
Lorsque les médecins commencèrent à soupçonner le tabac de favoriser l’apparition du cancer des poumons, les grands cigarettiers avaient beau jeu de mettre en avant tel ou tel qui, en bonne santé passé 80 ans, avait fumé deux paquets de cigarettes par jour depuis son adolescence.
Le mode d’action du tabac n’était pas connu et il était très difficile à mettre en évidence.
Mais quand des médecins, au début des années cinquante, utilisèrent les statistiques pour comparer des populations (des cohortes) de fumeurs (plus ou moins « gros » fumeurs) et de non-fumeurs, la réponse fut immédiate : le tabac jouait un rôle majeur et indiscutable dans l’apparition de la maladie.
Quel rapport avec le climat, me demanderez-vous ?
J’y viens.
Jusqu’à l’année dernière, les modélisations du GIEC étaient contestées par des chercheurs qui leur opposaient leurs propres modélisations.
Il était impossible au non-spécialiste de savoir qui croire.
Il y avait nécessairement au moins une des deux thèses qui était fausse, voire les deux.
Bien sûr, les révélations à propos de courriers internes au GIEC faisant état de choses cachées affaiblissaient la thèse du GIEC, de même que l’intervention des États dans la rédaction du « Rapport aux décideurs ».
Bien sûr, l’extraordinaire qualité des interventions de Vincent Courtillot, sa modération, poussaient à lui faire confiance lorsqu’il affirmait qu’il n’était nul besoin de faire intervenir l’activité humaine pour expliquer le réchauffement rapide du globe durant les trente dernières années du siècle dernier.
Bien sûr, enfin, le fait que les modèles du GIEC n’avaient absolument pas prévu l’arrêt du réchauffement des dix-sept dernières années, et qu’il fallait faire appel aux couches profondes de l’océan pour affirmer que le réchauffement continuait, mais « en cachette », laissait planer un sérieux doute.
Pourtant, on restait thèse contre thèse, modèle contre modèle.
Quand Philippe de Larminat (Changement climatique) publie son travail, c’est comme lorsque les médecins utilisèrent les statistiques pour mesurer l’impact du tabac : une révolution.
On n’est plus modèle contre modèle : on sait, maintenant, que l’activité humaine n’est pas en cause dans le réchauffement.
Philippe de Larminat démontre que le réchauffement est très directement lié (corrélé) à l’activité solaire, alors que le GIEC n’attribuait à celle-ci qu’un rôle marginal ou nul dans le réchauffement.
Ce que démontre Philippe de Larminat, c’est que Vincent Courtillot avait raison, depuis longtemps. La conférence climat 2015 est donc une escroquerie.
Ce qui n’empêche pas d’envisager la transition énergétique pour d’autres raisons.
Le mode d’action du tabac n’était pas connu et il était très difficile à mettre en évidence.
Mais quand des médecins, au début des années cinquante, utilisèrent les statistiques pour comparer des populations (des cohortes) de fumeurs (plus ou moins « gros » fumeurs) et de non-fumeurs, la réponse fut immédiate : le tabac jouait un rôle majeur et indiscutable dans l’apparition de la maladie.
Quel rapport avec le climat, me demanderez-vous ?
J’y viens.
Jusqu’à l’année dernière, les modélisations du GIEC étaient contestées par des chercheurs qui leur opposaient leurs propres modélisations.
Il était impossible au non-spécialiste de savoir qui croire.
Il y avait nécessairement au moins une des deux thèses qui était fausse, voire les deux.
Bien sûr, les révélations à propos de courriers internes au GIEC faisant état de choses cachées affaiblissaient la thèse du GIEC, de même que l’intervention des États dans la rédaction du « Rapport aux décideurs ».
Bien sûr, l’extraordinaire qualité des interventions de Vincent Courtillot, sa modération, poussaient à lui faire confiance lorsqu’il affirmait qu’il n’était nul besoin de faire intervenir l’activité humaine pour expliquer le réchauffement rapide du globe durant les trente dernières années du siècle dernier.
Bien sûr, enfin, le fait que les modèles du GIEC n’avaient absolument pas prévu l’arrêt du réchauffement des dix-sept dernières années, et qu’il fallait faire appel aux couches profondes de l’océan pour affirmer que le réchauffement continuait, mais « en cachette », laissait planer un sérieux doute.
Pourtant, on restait thèse contre thèse, modèle contre modèle.
Quand Philippe de Larminat (Changement climatique) publie son travail, c’est comme lorsque les médecins utilisèrent les statistiques pour mesurer l’impact du tabac : une révolution.
On n’est plus modèle contre modèle : on sait, maintenant, que l’activité humaine n’est pas en cause dans le réchauffement.
Philippe de Larminat démontre que le réchauffement est très directement lié (corrélé) à l’activité solaire, alors que le GIEC n’attribuait à celle-ci qu’un rôle marginal ou nul dans le réchauffement.
Ce que démontre Philippe de Larminat, c’est que Vincent Courtillot avait raison, depuis longtemps. La conférence climat 2015 est donc une escroquerie.
Ce qui n’empêche pas d’envisager la transition énergétique pour d’autres raisons.
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