Rédigé par Louis Blase le 01 janvier 2014.
Regardant sa montre, Ferdinand Buisson le modèle laïciste de Vincent Peillon, aimait à penser que tous les petits Français étaient à la dictée à la même heure.
Le fantasme de la pensée unique qui aiguisa les guillotines à partir de 1793, puis les baïonnettes anticléricales à partir de 1883, renaît timidement mais sûrement entre les joues pouponnées de notre ministre de l’éducation nationale.
Lénine quant à lui affirmait : « Confiez moi un enfant jusqu’à ses huit ans, il sera bolchévique jusqu’à sa mort ».
Au fond, notre frère Peillon semble bien victime du syndrome de Lénine-Buisson.
Son enseignement de la morale laïque n’est autre qu’ un enseignement religieux de substitution, une nouvelle version du petit livre rouge.
Sa volonté de soustraire les enfants aux déterminismes familiaux et religieux dès le plus jeune âge, ne cache même pas sa volonté de leur imposer le déterminisme de son utopie relookée à la sauce de l’indifférenciation des sexes.
En dehors de Sa République fantasmée, point de salut.
Sa raison idolâtre ne pourra sauver nos enfants du désastre des religions qu’à la condition que Son Etat Tout Puissant domine les esprits régénérés de nos enfants.
Après les utopies romantiques de 1789, vinrent les génocides fratricides de 1793. Espérons que la folle idéologie parvenue hypocritement aux commandes de notre République en 2012 avortera avant le cahot économique, qui pointe pourtant son nez après seulement un an de hollandisme.
La désillusion c’était hier, l’autodestruction c’est maintenant !
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