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mercredi 15 janvier 2014

L'affaire Gayet-Hollande en questions.

  Mercredi 15 Janvier 2014 à 16:07 (mis à jour le 15/01/2014 à 16:13)


Closer a révélé la semaine dernière la liaison qu'entretient François Hollande avec l'actrice Julie Gayet. Photo © MaxPPP

Closergate. Après la publication par Closer d’un cahier spécial de sept pages sur la liaison qu’entretient le chef de l’Etat avec la comédienne Julie Gayet, plusieurs questions se posent.

 Que va devenir Valérie Trierweiler? Quid de la sécurité du Président? Qui paie la protection de Julie Gayet?
 
L’épine Trierweiler

Les proches de la compagne officielle du président le sous-entendent : « Valérie est prête à pardonner et à revenir à l’Élysée. »
 La stratégie de son “compagnon”, qu’un nombre important de conseillers pousse à se débarrasser de Valérie Trierweiler, peu appréciée au Château et très impopulaire, semble différente.
 Après son hospitalisation, celle-ci pourrait ainsi prétexter un besoin de se reposer dans son appartement du XVe arrondissement, rue Cauchy.
 Un moyen envisagé par l’Élysée pour étouffer l’affaire et se débarrasser de cette encombrante compagne.


La sécurité du président en question

Le paparazzi qui a pris la photo, Sébastien Valiela, accuse : il aurait pu, à plusieurs reprises durant son enquête, mettre en danger la vie du président, qui était mal protégé.
 Le départ de Sophie Hatt, commissaire, patronne du GSPR (Groupe de sécurité de la présidence de la République), est demandé par des conseillers de Hollande et certains proches de Valls.

Sa légèreté dans la gestion des “absences” présidentielles lui est sévèrement reprochée.

Qui paie la protection de Julie Gayet ?

C’est le député UMP Olivier Marleix qui pose la question : est-il normal que les contribuables aient pris en charge le secrétariat d’une première dame, Valérie Trierweiler, qui n’était pas l’épouse du président ?
De même, poursuit le député, les Français ont le droit de savoir si la nouvelle “amie” du président bénéficie aussi d’une protection particulière.

 Des policiers auraient en effet été aperçus au pied de son domicile parisien…

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