Cinq homicides, mille agressions, 120 coups de couteau, 500 cambriolages… par jour, 4000 viols par an, un refus d’obtempérer toutes les vingts minutes.
123.210 infractions liées aux violences sexuelles recensées en 2024, soit plus de 330 faits par jour en moyenne et encore la plupart ne sont même pas comptabilisés, sans compter les escroqueries, arnaques, destructions de biens, dégradations de bâtiments, de véhicules, sachant encore une fois que nombre de délits mineurs ont été « intégrés » par nos concitoyens qui ne se fatiguent plus à aller porter plainte pour des atteintes qu’ils réparent à leurs frais et qui ne sont pas comptabilisées.
Le dernier sondage le plus
récent, réalisé par Fiducial/Odoxa pour Le Figaro , expliquait que 92 %
des Français estiment que l’insécurité avait progressé, dont 55 %
jugeant qu’elle avait « beaucoup » augmenté. Seulement 29 % faisaient
confiance au gouvernement pour garantir la sécurité, et 82 %
partageaient l’idée d’un « ensauvagement » de la société, avec des
variations selon les sympathies politiques (93 %-95 % pour Renaissance,
LR, RN ; 55 % pour LFI, 63 % pour les socialistes, 65 % pour les
écologistes). Les lieux perçus comme les moins sûrs incluaient les
quartiers sensibles (83 %), les transports publics (65 %) et les grandes
villes (61 %). Par ailleurs, 68 % appelaient à un usage plus large de
la force par la police, dans une société de la protection des « droits
de l’homme » qui se traduit, en pratique par la protection des droits
des délinquants, qui ne peuvent être ni cités, ni filmés, ni abîmés lors
de leurs arrestations…
En réponse, on a une montée des
investissements dans des dispositifs de protection, chez les
particuliers, les villes, les entreprises, ce qui fait beaucoup d’argent
en moins pour les salaires et l’investissement. Egalement, cette
délinquance galopante se compte en heures de travail perdues, en
burn-out des fonctionnaires de police et de justice, en arrêts de
travail des victimes, en réparations, reconstructions, rénovations…
ainsi, toute une société est mise sous tension, collectivement atteinte
dans son psychisme et sa chair, deux derniers items étant plus
difficiles à chiffrer. Au total : plusieurs dizaines de milliards chaque
année, des coûts en explosion et un sentiment global de vulnérabilité,
un ras le bol et des attentes importantes de l’État, de la part de la
population, que quelque chose se fasse. Ce n’est objectivement pas la
voie que nous suivons, avec des peines dérisoires, notamment pour les
atteintes aux biens, ou les refus d’obtempérer, des multirécidivistes en
totale liberté, des OQTF de délinquants pas exécutées et des
responsables politiques qui expliquent à longueur d’antenne qu’il
faudrait « vider les prisons ». Que la prison : « n’est pas la
solution ». En réalité, il se trouve toujours des militants, de gauche,
pour expliquer à chaque velléité de sanction, que « ce n’est pas la
solution ».
En arrière plan, évidemment, l’action évidente d’une catégorie socio-ethnique, mais certains hurlent déjà au racisme, alors que les faits sont pourtant objectifs, avec une présence à 80 % dans les prisons, une représentation quasi exclusive dans les coups de couteau, les attentats, les agressions de forces de l’ordre, la délinquance liée à la drogue, les règlement de comptes de l’arme de guerre… mais non, il ne faut pas en parler. Et Retailleau d’expliquer qu’on ne peut pas lui demander en six moins de redresser quarante ans de laxisme… ah bon, il y aurait eu 40 ans de laxisme ? Au moins c’est dit. On ne peut pas redresser la barre donc ? Et encore moins sans doute quand la volonté politique n’y est pas et que le choix objectif, assumé ou non, est bien de laisser les administrés bien seuls face à cette vague, en veillant en plus, à ce qu’ils ne se défendent pas trop : les « droits de l’homme », vous comprenez bien.
Pourtant les citoyens sont demandeurs de forces de l’ordre avec plus de prérogatives, de plus de sévérité, de moins d’une certaine immigration. Robert Ménard demande l’arrêt du regroupement familial… il se réveille de temps en temps, celui-ci, lassé peut-être des mariages hystériques, des quartiers en forme de poudrière et du coût de tout cela pour sa municipalité.
Au RPF, nous avons énoncé plusieurs solutions, des statistiques ethniques, pour savoir qui fait quoi et poser le problème de manière scientifique, soit débarrassée des filtres idéologiques qui ont consisté, pendant quarante ans, à « ne pas dire ». La fin des aides sociales aux étrangers, la fin des aides sociales en cas de mineurs délinquants, la construction de prison, la reprise en main de la discipline dans les écoles, l’exécution sans faillir des OQTF, la fin du droit du sol et du regroupement familial, le plafonnement des allocations familiales à trois enfants.
Encore une fois, ce ne sont pas des mesures « d’extrême droite », puisque c’est le régime en vigueur dans de très nombreux pays au monde, y compris des démocraties. Et cela va dans le sens de ce que réclame une majorité de personnes dans une prise de conscience que cela commence à suffire dans de très nombreux pays d’Europe.
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