Peter Daszak (EHA) est vu en Chine participant à l'enquête de l'OMS sur les origines du COVID-19.
Nouveau rebondissement dans l’affaire de l’origine humaine du virus du Covid-19.
Après la publication-révélation des Defuse Project Documents, ces documents leakés révélant la collusion entre les autorités américaines et le laboratoire chinois de Wuhan dans la création d’un virus Sars-CoV, le journal britannique Daily Telegraph annonce que la commission officiellement chargée par le Lancet de découvrir l’origine dudit virus vient d’être débarquée.
Et pour cause, ses membres entretenaient des liens très étroits avec un certain Peter Daszak. Ce dernier n’est autre que le président d’EcoHealth Alliance (EHA), cette ONG financée principalement par l’administration US, et qui réclamait des subventions à la Darpa (agence du département de la Défense des États-Unis en charge de la recherche et du développement des nouvelles technologies à usage militaire) pour « concevoir des coronavirus de chauve-souris destinés à être plus mortels, en insérant des caractéristiques génétiques similaires à celles trouvées dans le SRAS-CoV-2 ».
Notez que le même Peter Daszak se faisait parallèlement le plus acharné pourfendeur de l’hypothèse d’une origine humaine du virus via le labo de Wuhan, soutenu par les tirs de barrage hystériques des autorités sanitaires et par les médias mainstream contre ceux qu’on qualifiait de complotistes à défaut de pouvoir les disqualifier par des arguments scientifiques.
Mais peu à peu la vérité se fait jour, et elle est impitoyable pour les comploteurs et tous ceux (autorités politiques, sanitaires, médias) qui tentèrent de dissimuler leur forfait : derrière la pandémie de coronavirus, il y a la réalité d’une recherche effective de création d’un virus potentiellement mortel, financée par des subventions militaires.
Le fait que la subvention de 14 millions de dollars réclamée par l’EHA ait été refusée par la Darpa (au prétexte de risques trop élevées) ne change rien à la nature malfaisante et criminelle de l’intention et surtout à la tragédie planétaire qu’entraîna son début d’application.
Car l’hypothèse la plus sérieuse désormais devient clairement la fuite accidentelle d’un virus extrêmement dangereux, d’une arme créée par l’homme à des fins militaires agressives, en violation flagrante de la Convention sur l’interdiction des armes chimiques (CIAC).
Effets collatéraux de cette guerre sournoise qui ne dit pas son nom : 4 781 695 victimes civiles (worldometers, 29 septembre 2021).
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