Réflexions sur l'actualité et la
politique Française.
Avec quelques exceptions sur le reste du monde.
Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution.Covid
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mercredi 3 juin 2020
Camélia Jordana intervient et perturbe un contrôle de police en plein Paris
La
chanteuse désormais connue pour ses propos à l’encontre de la police
est intervenue dimanche 31 mai à Paris lors du contrôle de deux femmes
pour usage et possession de stupéfiants, rapporte Valeurs actuelles.
Face à l’afflux de personnes, la police a dû appeler des renforts.
Dimanche 31 mai, la chanteuse Camélia Jordana s’en est prise à des policiers qui procédaient à un contrôle, selon les informations de Valeurs actuelles.
La scène s’est déroulée sur les quais de Seine, à Paris, et a provoqué
un attroupement autour de celle qui est maintenant connue pour ses
propos sur les violences policières en banlieue à l’égard des personnes
de couleur.
«Elle se croit investie d’une mission divine, c’est consternant!», s’est indigné un policier, cité par le magazine.
Trois agents de la police nationale ont pris en flagrant délit deux
jeunes femmes en train de consommer des stupéfiants.
L’une d’elles s’est
rebellée, refusant que son sachet de cannabis soit saisi, ce qui a mené
à son interpellation.
D’autres personnes, dont Camélia Jordana, sont
alors intervenues pour demander aux policiers de les laisser
tranquilles.
Munie de son smartphone qu’elle utilisait pour filmer, l’artiste a
fait savoir aux policiers que leur intervention était violente, avant
d’échanger ses coordonnées avec la femme arrêtée.
L’interpellation a
engendré un vaste rassemblement, au point que des agents ont dû être
appelés en renfort pour disperser les gens. Pas de poursuite judiciaire
Samedi 23 mai, Camélia Jordana s’est illustrée pour ses propos
polémiques sur les policiers, sur le plateau de On n’est pas couché sur
France 2.
Elle les a accusés de «massacrer» des hommes et des femmes en
banlieue pour leur couleur de peau, et a affirmé elle-même ne pas se sentir en sécurité face aux forces de l’ordre.
Invité par un syndicat policier à saisir la justice à l’encontre de
la chanteuse, le ministre de l’Intérieur a refusé de le faire et s’est
contenté de dénoncer cette intervention sur Twitter.
«Je suis très attaché au débat public donc je n’entends pas poursuivre
ces propos», a-t-il affirmé, ajoutant que cette liberté ne permettait
toutefois pas de «dire tout et n’importe quoi».
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