Le refus obsessionnel de l’hydroxychloroquine en France tranche avec les mesures d’ouverture prises largement à l’étranger.
Pour la seule Europe Occidentale, la Belgique, les Pays-Bas, le Portugal, l’Italie, la Grèce, recommandent officiellement le traitement du coronavirus avec l’hydroxychloroquine.
La Russie, les États-Unis, la Chine, le Brésil, font de même.
Pourquoi les élites françaises luttent-elles avec autant d’obstination contre un produit français, qui pourrait être produit en France ?
Pourquoi font-elles le lit du Remdesivir de Gilead, produit à des coûts très élevés aux États-Unis, et qui n’est ni commercialisé, ni, à ce stade, efficace ?
La bureaucratie sanitaire nuit gravement à la santé
Il faudrait une commission parlementaire pour clarifier les raisons réelles des barrages bureaucratiques contre l’hydroxychloroquine.
D’ici là, on peut s’interroger sur le nombre de Français qui vont mourir du fait de ces blocages ineptes ?
Sur quelle base légale, humaine, philosophique, un fonctionnaire peut-il décider dans le confort de son bureau si oui ou non tel patient a droit à l’hydroxychloroquine ?
Sur quel fondement le patient est-il privé de la possibilité de s’exposer ou non à un risque qu’il souhaite prendre en toute transparence pour sa santé ?
La bureaucratie sanitaire va décidément très loin dans la dépossession de nos libertés.
Cette dépossession est d’autant plus absurde qu’une quantité phénoménale de médecins utilisent pour eux-mêmes l’hydroxychloroquine ou souhaitent l’utiliser (80% selon le Quotidien du Médecin).
La bureaucratie sanitaire nuit gravement au portefeuille des Français
Au-delà de ces risques sanitaires graves, on peut s’interroger sur la stratégie industrielle de cette bureaucratie qui contrôle le pays et nos vies.
Pourquoi avantager l’industrie américaine quand l’industrie française est reconnue et choisie dans de nombreux pays du monde ?
La haine portée à l’iconoclaste Raoult et l’insoumission de celui-ci aux élites parisiennes justifient-elles à ce point un abus de pouvoir technocratique que les intérêts nationaux soient compromis ?
Au fond, pour la haute fonction publique, le protocole aristocratique passe bien avant l’intérêt général.
En soi, cette préférence justifie une épuration profonde de nos élites publiques.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.