Le 13/11/2016
C’est un nouveau signe de l’esprit de capitulation complète qui prévaut désormais en France.
Les chanteurs du groupe américain jouant au Bataclan lors des attentats, les « Eagles of Death Metal », ont été décrétées « persona non grata » au concert qui se déroulait au même endroit pour la commémoration qui s’y déroulait hier.
Motif : leur « islamophobie ».
Huffington Post (source) :
« Ils sont venus, je les ai virés, il y a des choses qu’on ne pardonne pas ». Jules Frutos, codirecteur du Bataclan, a expliqué avoir refoulé deux membres des Eagles of Death Metal samedi 12 novembre, pour le concert de réouverture de cette salle parisienne un an après les attentats qui ont fait 90 morts et des dizaines de blessés.
Le manager du groupe américain a démenti ces propos, affirmant que les chanteurs n’avaient pas essayé d’entrer mais s’étaient simplement recueillis un instant sur place :
Dans un communiqué au magazine américain Billboard, le manager des Eagles of Death Metal, Marc Pollack, a fermement nié que les deux membres du groupe aient été refoulés devant le Bataclan: « Jesse n’a même pas essayé d’entrer dans la salle pour le concert de Sting », a-t-il affirmé. « En fait, Jesse est à Paris pour partager les souvenirs de ces tragiques événements d’il y a un an, avec ses amis, sa famille et ses fans. (…) Et ce lâche de Jules Brutos a le besoin de salir la réouverture de sa propre salle en répandant de fausses rumeurs auprès de la presse ».
En fait, le codirecteur du Bataclan – et probablement le gouvernement socialiste – tente d’empêcher que la narration officielle des événements n’échappe au pouvoir politique français.
Jesse Hughes avait en effet relevé de nombreux indices d’une présence des terroristes musulmans avant l’attaque, soulignant l’attitude incohérente des agents de sécurité dans une interview.
Il avait aussi plus largement appelé à prendre conscience du péril islamique (à lire ici).
Le chanteur avait ainsi déclaré que les musulmans faisaient la fête après l’attaque :
Un jour après, au stade, les musulmans ont sifflé la minute de silence et nous n’en avons pratiquement pas entendu parler dans la presse. J’ai vu des musulmans faire la fête dans la rue pendant les attaques. Je l’ai vu de mes propres yeux. En direct ! Comment savaient-ils ce qui se passait ? Il devait y avoir une coordination.
La ministre de la Culture était présente hier au Bataclan.
Il s’agissait bien d’imposer, coûte que coûte, la ligne officielle pro-musulmane sur fond des habituels slogans sur le « vivre ensemble ».
Et le chanteur Sting, favorable au « burkini » (voir ici), a commencé sa performance en scandant « Inch’allah » :
Sting chante "Inch'Allah", "c'est un mot magnifique". Applaudissements dans la salle. #Bataclan— Paul Aveline (@PaulAveline) 12 novembre 2016
Tout ceci est hautement symbolique.
Cela traduit le degré de soumission vis-à-vis de l’islam qui prévaut désormais au sein des élites hexagonales.
Mis en parallèle avec la révolution politique qu’enclenche l’élection de Donald Trump aux USA, la collision entre la France et le monde occidental encore libre est inévitable.
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