Le 05/10/2015
La gauche au pouvoir - Christiane Taubira en tête - poursuit sa fuite en avant, allant jusqu’à dénoncer des mesures liberticides lorsqu’un maire audacieux propose un couvre-feu pour les mineurs de moins de 13 ans.
Le premier a consisté en un règlement de comptes particulièrement sordide sur un lycéen – connu, par ailleurs, des services de police -, à la sortie d’un établissement de Villeneuve-Saint-Georges. Frappé à coups de pelle, défiguré au cutter et la tête écrasée.
Jadis, les règlements de comptes se résumaient à des exécutions sommaires ; aujourd’hui, ils trahissent les pulsions d’une jeunesse tribale pour qui la vie des autres n’a aucune valeur, et dont une partie grandissante rêve sans doute de grossir les rangs de Daech pour donner libre cours à cet instinct meurtrier sans limite.
Il suffit de lire la presse régionale pour constater l’ampleur d’un phénomène que certains ministres voudraient dissimuler sous le tapis.
Second fait divers, du même acabit : à Évry, une énième fusillade a eu lieu, impliquant notamment un mineur.
Ces fusillades se produisent désormais n’importe où, n’importe quand, au mépris des potentielles victimes qui viendraient à passer par là.
On se croirait à Palerme, du temps des grandes heures de Cosa Nostra !
Malgré les appels au secours des élus concernés par ce déchaînement de violence, la gauche au pouvoir – Christiane Taubira en tête – poursuit sa fuite en avant, allant jusqu’à dénoncer des mesures liberticides lorsqu’un maire audacieux propose un couvre-feu pour les mineurs de moins de 13 ans.
Robert Ménard en sait quelque chose, accusé il y a quelques mois de stigmatiser les populations des quartiers sensibles – euphémisme désignant des foyers de délinquance et d’intégrisme -, pour avoir proposé d’infliger des amendes aux parents de ces mineurs en goguette à des heures indues !
Mais ce goût de tuer, autant que de faire souffrir, n’aurait-il pas des origines qui dépassent le cadre strict des jeux vidéo et autres films d’action, régulièrement et commodément pointés du doigt ?
Cette violence n’aurait-elle pas aussi des origines culturelles ?
À ces questions, les esprits généreux répondront qu’il n’y a pas plus de faits divers de ce type qu’auparavant ; on en parle plus, voilà tout.
Non, ne voilà pas tout : cette violence débridée provient essentiellement de zones géographiques de non-droit, majoritairement occupées par des allogènes qui, bien souvent, ne reconnaissent pour seule loi une loi qui trouve son inspiration bien ailleurs et qui va à l’encontre de celles indispensables à la stabilité d’une nation démocratique.
L’écrire est odieux ?
Le vivre est encore pire…
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