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lundi 3 novembre 2014

Une bande de clowns déguisés en " socialistes", responsable de nombreuse et brutales agressions à l’encontre des supports de la République.

lundi 3 novembre 2014, par Comité Valmy

Depuis plus de deux ans, un certain nombre d’individus, agissant en bande organisée, portant masques et travestis, sème le désordre sur l’ensemble du territoire.

Ils s’en prennent, en priorité, aux supports de l’Etat social, mis en place pierre à pierre, tout au long du dernier siècle, par le peuple rassemblé : la Sécurité sociale, les allocations familiales, le système de retraites, le code du Travail, les conventions collectives, les rémunérations garanties, tout y passe, tout est brisé.
Ces agressions violentes contre les personnes jusque là sécurisées, se sont multipliées au détriment d’une masse considérable de salariés, ainsi privés de leur emploi, en difficulté de se soigner, pressurés par la productivité.
On mesure l’ampleur du phénomène et ses dramatiques retombées.
Mais, dira-t-on, "Que fait la police ?"
Pourquoi ne met-on pas un terme aux exactions de ces criminels, puisqu’ils sont, nous dit-on, démasqués ?
Pas si simple, car cette délinquance, n’agit pas au grand jour.
Elle frappe camouflée.
En effet, les derniers rapports du ministère de l’Intérieur précisent que les individus en question se sont travestis en "socialistes", portant le masque de nos dirigeants.

 
 
Certains clowns opèrent même avec le visage de François Hollande et de Manuel Vals, et d’autres ministres, de députés locaux, de dirigeants syndicaux.
Souvent une rose à la main, ils défendent, le verbe haut, la veuve et l’orphelin.
Comment, dans ces conditions, sévir contre de si bons citoyens ?
La police ne peut guère discerner le bon grain de l’ivraie.
Et nos malfaiteurs poursuivent leurs forfaits en toute impunité.
Le Président fustige les fauteurs de désordre. Il dénonce à la télé ce mal qui envahit la société, mal dont il est, dit-il, "son seul ennemi".
Pourtant, rien n’y fait. Les agressions se multiplient comme une épidémie.
Un jour, le cadre de nos institutions est fracassé, les départements jetés comme les municipalités. Le lendemain, ce sont les pharmaciens, les notaires qui sont visés.
Certes, l’enquête progresse.
 
Le réseau aurait des racines hors de nos frontières.
Dans les milieux bien informés, on cite Bruxelles comme le centre de ses néfastes activités.
Là se situerait le noyau dirigeant du gang costumé.
On parle aussi de Strasbourg où s’assemblerait les filiales de ce crime organisé.
Mais comment agir avec Schengen ?
Comment sévir à l’étranger ?
 
Des voix s’élèvent chez nous pour lever le voile et ôter les masques, hors des bals costumés, et les clowns aux cirques cantonnés.
 
Les gredins seraient ainsi démasqués et châtiés.
 
De l’angoisse, la France serait délivrée et les Français libérés.
 
Et le socialisme, le vrai, aurait droit de cité
 

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