Lors d’un entretien accordé à France 24, le 8 décembre dernier, le président Hollande avait assuré que les effectifs engagés dans l’opération Sangaris, en Centrafrique, ne dépasseraient pas les 1.600 hommes.
“Il n’y en aura pas davantage, cela suffira”, avait-il estimé.
Seulement, selon le quotidien La Dépêche, une compagnie de combat (150 hommes) du 3e Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine (RPIMa), implanté à Carcassonne, doit partir ce 14 décembre à Douala, au Cameroun.
Placé en alerte “Guépard”, le 3e RPIMa “viendra donc renforcer le dispositif militaire d’ici quelques heures voire quelques jours à Bangui” croit savoir le journal.
Mais, d’après l’officier communication du “3″, cette compagnie doit se prépositionner à Douala en tant que “renfort éventuel pour la République centrafricaine, en cas de besoin”.
Le 3e RPIMa est par ailleurs déjà present en Centrafrique étant donné qu’un certain nombre de ses commandos-parchutistes appartenant aux GCP (Groupements commandos parachutistes) y ont été envoyés il y a quelques jours.
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