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mardi 17 septembre 2013

Paris : attroupement de jeunes armés devant un lycée, 26 interpellations. (vidéo)

Mis à jour : 17-09-2013 17:42
- Créé : 17-09-2013 16:37


FAITS DIVERS - Vingt-six jeunes ont été interpellés mardi vers midi alors qu'ils étaient sur le point de s'affronter devant une annexe du lycée Edgar Quinet, rue Duperré (9e arrondissement de Paris).

 De nombreux policiers ont été mobilisés et des armes ont été saisies.

Une guerre entre bandes a bien failli être déclenchée mardi vers 12h30, en plein cœur 9e arrondissement de Paris.
Vingt-six jeunes ont été interpellés alors qu'ils s'attroupaient devant le lycée général et technologique Edgar Quinet, rue Duperré, selon une information révélée par RTL.

Les suspects, qui n'étaient a priori pas inscrits dans l'établissement, se sont rassemblés devant le lycée armés de battes, de béquilles et d'armes blanches, dans l'intention d'en découdre "avec un élève qu'ils attendaient", selon la radio.

 L'élève visé, âgé de 16 ans, serait scolarisé au lycée.

La police demande des renforts

Aucun blessé n'a été à déplorer mais un renfort de plusieurs équipes de la brigade anticriminalité (BAC) a été nécessaire pour empêcher la rixe.
 L'origine du conflit n'était pas déterminée mardi après-midi.
  Des témoins assurent avoir vu un sac rempli de couteaux récupéré par la police, mais aussi un katana, sabre de samouraï.

C'est le proviseur du lycée qui, voyant des jeunes à "l'air hostile" qui se regroupaient a prévenu la police.
Les vingt-six interpellés ont été placés en garde à vue à la demande du parquet.
 Il s'agirait "d'une histoire de bandes", a indiqué à metronews le proviseur, Jean Claude Devaux.
 Une trentaine d'entre eux étaient venus une première fois vers midi, avant de repartir, puis de revenir vers 13 heures.
 "Heureusement, c'est arrivé entre midi et deux. Beaucoup d'élèves n'ont rien vu", a précisé le proviseur.

http://www.metronews.fr/paris/paris-attroupement-de-jeunes-armes-devant-un-lycee-26-interpellations/mmiq!DVB6n2zMACSWg/




1 commentaire:

  1. ce sont ceux qui vont payer nos retraites. (dit le gouvernement) cette France du vivre ensemble que nous aimons tant et qui fait notre fierté

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