Femen : des « salopes sans cervelle » selon leur leader

Rédigé par lesoufflet le 09 septembre 2013.

 

Un documentaire sur les Femen nous apprend qu’il s’agit en fait d’un groupuscule créé par un Ukrainien pour assouvir ses besoins sexuels.

Un homme qui avoue avoir choisi des femmes sexy dans un but marketing et qui considère les Femen comme des « salopes », « sans cervelle ».

On vous avait prévenus…

La réalisatrice australienne Kitty Green a réalisé « Ukraine is not a brothel », un documentaire sur les Femen, ces militantes « féministes » adulées par notre gouvernement et notre caste médiatique.
Ce film éloquent a été diffusé à la Mostra de Venise la semaine dernière.

On y apprend que le fameux groupe de féministes a en fait été lancé par… un homme : Victor Svyatski, le « maître à penser » des Ukrainiennes aux seins nus.

 Comment ne pas exploser de rire en découvrant le portait de cet homme par la réalisatrice du film, qui s’est immergée pendant un an en Ukraine, au milieu des Femen, où elle a pu longuement rencontrer leur boss :
« Il est allé chercher les plus jolies filles parce qu’elles font vendre plus de papier. Les plus jolies filles ont droit à la première page. C’est devenu leur manière de faire pour vendre la marque.
[...]
Une fois que j’étais dans le cercle intime, je ne pouvais pas ne pas le connaître. Il est Femen, c’est son mouvement.
[...]
Il est horrible avec les filles. Il leur crie dessus et les traite de ‘salopes’. »

Le créateur du mouvement féministe vénéré par notre ministre de la condition féminine est donc un misogyne qui instrumentalise le physique des Femen afin de faire du buzz et de satisfaire ses besoins sexuels, comme il l’a expliqué lui-même à la réalisatrice :
« Ces filles sont faibles. Elles n’ont aucune force de caractère. Elles n’ont même pas le désir d’être fortes. Elles sont soumises, elles manquent de ponctualité et de bien d’autres choses qui les empêchent de devenir des militantes politiques. Ce sont des qualités qu’il fallait leur enseigner« , s’exprime ainsi le leader des Femen, avant d’avouer avoir lancé le mouvement  »pour avoir des filles« .

C’est donc ça le féminisme si cher à Najat Vallaud-Belkacem, à Aurélie Filippetti et à Ségolène Royal ?

Quelle honte (encore…) pour la France et pour les vrais féministes du monde entier que  nos gouvernants PS n’aient même pas pris la peine de se renseigner sur ce mouvement…et tout ça pour faire avaler la pilule de leur absurde mariage gay…lui même mis en place pour faire oublier l’incompétence d’un gouvernement sur les problèmes de chômage et d’insécurité !

Heureusement, en Europe, il existe encore certains vrais journalistes qui ne sont pas des militants, mais qui recherchent simplement la vérité (contrairement à nos journalopes de France Inter ou de France télévision, Caroline Fourest en tête, qui ont adulé pendant des mois les Femen sans même faire de recherche sur leurs origines ou leur fonctionnement, le tout avec l’argent du contribuable…).

En France, les Femen auront été particulièrement mises sur un piédestal grâce à leur haine du christianisme et de toute valeur non consumériste.
 Ainsi, sans se renseigner, les médias, mais pire, de nombreux membres du gouvernement, ont salué le « courage des Femen » et leur engagement déplorable (il faut vraiment être socialiste pour trouver héroïques des mannequins hystériques qui profanent des lieux de culte en criant et en montrant leurs poitrines).
Surtout, il s’agissait pour le pouvoir en place (et ses relais médiatiques comme France Inter, Yann Barthes, Les Inrocks, le Monde, Libé…) de manipuler l’opinion lors du débat sur le mariage pour tous les homosexuels et l’homoparentalité pour tous.
Une énième instrumentalisation du pouvoir socialiste, après celle de Méric et celle de Wilfried, dont les histoires n’ont plus fait la Une des médias une fois que la vérité a éclaté.
 On peut donc être sûr qu’aucun média traditionnel ne nous parlera de ces vérités sur les idoles de Fourest, Belkacem et autres Duflot…

Le féminisme moderne, c’est maintenant !