Dans plusieurs ministères, les couloirs bruissent de la même inquiétude : dans trois mois, la France pourrait ne plus être en mesure de payer les salaires des fonctionnaires, les retraites, ni même les allocations.
Oui, vous avez bien lu.
Le pays de l'État providence au bord de la banqueroute.
Et pendant ce temps-là… on continue de distribuer des milliards aux copains, de financer des guerres qui ne sont pas les nôtres, de claquer l’argent public comme si on roulait sur l’or !
Mais rien d’étonnant quand on a confié les clés du coffre à un type surnommé, sans rire, le Mozart de la finance… Résultat ?
Une partition de dettes, une symphonie de déficits, et un pays entier au bord du précipice.
On a sacrifié l’industrie.
On a tué la compétitivité.
On a brisé la confiance.
Et maintenant ? On menace de laisser tomber ceux qui ont bossé toute leur vie ou qui servent encore l’État aujourd’hui.
C’est ça votre modèle ? C’est ça votre grandeur ?
Le pire, c’est qu’on ose encore nous parler de relance, de croissance, de projets pour l’avenir… Mais avec quel argent ? Avec quelle crédibilité ?
Les masques tombent. Le vernis craque. Et la République, elle, vacille.
Alors merci Macron. Merci Bruno. Merci les technos hors-sol.
La réalité économique vous rattrape. Et ce sera violent.
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