Silence accablant des autorités !
Une révélation choquante
Dans une série de documents récemment publiés, Pfizer dévoile une liste longue et inquiétante d’effets secondaires associés à son vaccin contre la COVID-19.
Ce rapport confidentiel, maintenant rendu public, met en lumière des centaines de pathologies graves observées après la vaccination.
Parmi elles figurent des conditions effrayantes telles que :
• Myocardite et péricardite : Des inflammations cardiaques souvent mentionnées dans les controverses autour des vaccins.
• Accidents vasculaires cérébraux (AVC) et thromboses massives : Affectant même les jeunes adultes en bonne santé.
• Syndrome inflammatoire multisystémique chez les enfants.
• Paralysies faciales, encéphalites hémorragiques, et psychoses épileptiques.
• Mortinatalité et faible poids à la naissance pour les femmes enceintes.
Un scandale de santé publique étouffé
Cette liste, issue d’une analyse post-commercialisation, révèle l’existence d’effets secondaires graves que Pfizer et les autorités sanitaires n’ont jamais clairement communiqués au public. Ces données accablantes ont été incluses dans des rapports confidentiels envoyés à la FDA, mais elles n’ont jamais fait l’objet d’un débat transparent dans les médias ou parmi les experts indépendants.
Comment justifier que des citoyens aient été contraints de se faire vacciner, souvent sous la pression d’un pass sanitaire ou de la peur, sans être pleinement informés des risques encourus ?
Un système complice ?
La publication de ces documents soulève une question fondamentale : les agences de santé publique ont-elles failli à leur mission de protéger le public au profit des géants pharmaceutiques ?
La relation incestueuse entre Big Pharma et les régulateurs est maintenant impossible à ignorer.
• Immunité juridique pour Pfizer et Moderna : Ces entreprises ont bénéficié d’une protection totale contre les poursuites liées aux effets secondaires.
• Manque de transparence : Les essais cliniques de phase 3 n’ont pas été suffisants pour identifier de nombreux risques à long terme.
• Complicités gouvernementales : En imposant ces vaccins sans débat ni consentement éclairé, les États ont sacrifié la confiance de leurs citoyens.
Les questions que personne ne pose
1. Pourquoi Pfizer n’a-t-il pas divulgué ces effets secondaires dès le début de la campagne de vaccination ?
2. Les gouvernements savaient-ils que de telles complications étaient possibles et ont-ils choisi de les ignorer pour favoriser la campagne vaccinale ?
3. Que faire pour les millions de personnes déjà vaccinées et potentiellement exposées à ces risques ?
Un appel à l’action
Il est temps de demander des comptes. Les citoyens ont été réduits au silence, les professionnels de santé intimidés, et les médias complaisants. Cette révélation doit marquer un tournant dans la manière dont nous concevons la santé publique et la régulation pharmaceutique.
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source : x.com/MMontclairre/s
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